Agir vite et efficacement devient l’enjeu vital si on tient à contenir et à dépasser ces dérives qui pointent à notre horizon. les partis politiques, les syndicats, la société civile, la diaspora et le pouvoir se doivent de prendre leurs responsabilités. Le pouvoir surtout, auquel échoit l’essentiel de la tâche. A lui il incombe tout d’abord de prendre acte du diagnostic de la situation nationale et s’engager à fond en faveurs de solutions adaptées à ces graves maux .
Ce sont ces efforts en amont et en aval que nous devons exiger, accompagner et soutenir en tant qu’ėlite et citoyens responsables. La cohésion nationale constitue l’un des chantiers stratégique prioritaire qu’il est urgent d’inaugurer. Ce qui implique une lutte soutenue, contre le discours haineux et le communautarisme.
L’intégration sociale, économique et politique des couches sociales historiquement exclues en particulier les victimes de l’esclavage, devra à son tour constituer le thème majeur de cette reforme sociale. Il faut s’atteler à la mise en œuvre d’une vision de développement véritable appuyée sur l’accès équitable, il s’agit là d’adopter une gouvernance en rupture avec la corruption et le passe droit , qui privilégie la transparence dans la gestion et replace les critères de compétence, de mérite et de rationalité au cœur de la chaîne de la décision et du contrôle.
ce peuple n’a pas d’autre alternative que d’envisager un avenir commun.
Ce qui passe par la recherche d’une intersection des intérêts où chacun est appelé à faire des concessions .