Quand les parcours et les situations des Mauritaniennes et Mauritaniens sont de plus en plus divers,il est indispensable de sortir d’une approche uniforme,faute de quoi l’intervention publique reproduirait, voire exacerberait les inégalités là où elle devrait les corriger.
L’état doit opérer un changement radical de son rôle ! L’état doit devenir un véritable » investisseur social » qui considère Les Mauritaniens non pas selon ce qu’ils sont, mais selon ce qu’ils peuvent devenir et apporter à la collectivité.
Près de 3 millions de nos concitoyens vivant sous le seuil de pauvreté, qui ont moins de 2 euros par jour pour vivre , après avoir payé leurs dépenses courantes, la misère n’est pas un risque, mais une réalité. Et pour beaucoup de Mauritaniens qui craignent davantage la spirale infernale de la précarité , c’est une très grande inquiétude quoitinenne.
Que dieu bénisse la Mauritanie faisons plus pour ceux qui ont moins.
A.A.D