Quarante-quatre civils ont été tués lors de l’attaque de deux villages du nord-est du Burkina Faso, près de la frontière nigérienne, par des « groupes armés terroristes », dans la nuit de jeudi 6 avril à vendredi 7 avril, a indiqué samedi le gouverneur de la région du Sahel dans un communiqué.
Le gouverneur a assuré que « des actions de stabilisation de la localité sont en cours après (une) offensive menée par les forces de défense et de sécurité (FDS) qui a permis de mettre hors d’état de nuire les groupes armés terroristes qui ont perpétré ladite attaque ».
Cette double attaque est survenue dans des localités situées à cinq kilomètres de Seytenga, commune frontalière du Niger.
L’attaque n’a pas encore été revendiquée
Plus de 2 millions de personnes sont déplacées et des milliers ont été tuées par la violence au Burkina Faso.