par Webmaster | 2 09 23 | Actualitès, Le monde, Politique
Une nouvelle fois et à l’appel de plusieurs coalitions de la société civile hostiles à la présence militaire française, des milliers de nigeriens ont manifesté, ce samedi 2 septembre à Niamey réclamant le départ des troupes françaises . Mais cette fois-ci, la manifestation se tenait près d’une base nigérienne abritant des soldats français.
Depuis le 26 juillet,date du coup d’état,il des mafestations contre la présence française sont régulièrement organisées à Niamey mais jamais à proximité des bases militaires.
Les tensions diplomatiques entre les deux pays sont à leur plus haut niveau, la France ne reconnaissant pas la légitimité de le junte, rejette toutes ses décision.La France cherche-t-elle à légitimer une intervention militaire?
Depuis leur prises de pouvoir,les militaires nigeriens ont pris plusieurs décisions que Paris juge illégale parce que le régime en place ne représente pas la souveraineté du peuple mais issu du putsch.
Plusieurs accords militaires avec la France, qui compte 1500 soldats déployés dans la lutte anti-djihadiste au Niger ont été dénoncés. Selon les militaires, les accords contenaient tous différents préavis pour leur fin effective, dont l’un, relatif à un texte de 2012, était d’un mois.
Le paroxysme est monté d’un cran lorsque le Niger a retiré l’immunité et le visa diplomatiques de l’ambassadeur de France au Niger, Sylvain Itté, et exigé son « expulsion », selon un arrêté du ministère de l’Intérieur daté de jeudi 31 août et une ordonnance du Tribunal de grande instance de Niamey de vendredi rendus publics. Pour le Niger ces décisions sont justifiées par « l’hostilité injustifiée » de la France envers le Niger et le fait que la présence de son ambassadeur sur le territoire nigérien présente « des risques graves de trouble à l’ordre public ».
Pour l’instant la France s’entête à instruire son ambassadeur de partir,reste à savoir si le Niger va procéder à son expulsion par la force et qu’elle sera,dans ce cas la réaction de Paris.Les prochaines heures seront cruciales dans la voie que prendra cette crise entre Paris et Niamey.
par Webmaster | 1 09 23 | Actualitès
Binter a retabli la connexion entre les Canaries et Nouadibou avec un vol direct hebdomadaire, à partir du mardi 29 août dernier.
La compagnie espagnole dessert déjà la ville de Nouakchott (NKC) trois fois par semaine avec des vols les lundis, jeudis et samedis. Le vol décollera de l’aéroport de Gran Canaria (LPA) tous les mardis à 18h30 pour atterrir à l’aéroport de Nouadibou (NDB) à 19h40. Le vol de retour est prévu à 20h25, pour arriver dans l’archipel à 23h30.
par Webmaster | 31 08 23 | Actualitès
Le juge Lemrabott Ould Adel a été retrouvé mort dans ses toilettes, selon les premieres informations, il serait mort par strangulation.
Une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur les circonstances du décès.
par Webmaster | 30 08 23 | Actualitès, Le monde
Des officiers supérieurs de l’armée gabonaise sont apparus à la télévision nationale pour annoncer qu’ils ont pris le pouvoir et assigné à résidence le président Ali Bongo.
Ils ont également annoncé qu’ils annulaient les résultats des élections de samedi, au cours desquelles le président Bongo avait été déclaré vainqueur.
Les officiers ont également déclaré qu’ils dissolvaient toutes les institutions de l’État et que les frontières du pays étaient fermées.
Lors d’une comparution ultérieure, ils ont désigné le chef de la garde présidentielle comme chef de la transition.
Le général Brice Oligui Nguema, chef de la garde républicaine (GR), garde prétorienne du président déchu Ali Bongo Ondimba, a été porté en triomphe mercredi par des centaines de militaires, quelques heures après un coup d’État, aux cris de « Oligui président », dans des images retransmises par la télévision d’État.
Le renversement de Bongo mettrait fin aux 56 ans de pouvoir de sa famille dans ce pays d’Afrique de l’Ouest riche en ressources.
Ce serait le huitième coup d’État dans les anciennes colonies françaises d’Afrique au cours des trois dernières années
par Webmaster | 30 08 23 | Actualitès, Le monde
Des militaires ont annoncé mercredi mettre « fin au régime en place » au Gabo à l’issue d’un coup d’Etat visant le président sortant Ali Bongo, au pouvoir depuis 14 ans et dont la réélection venait d’être annoncée dans la nuit.
Le Comité pour la transition et la restauration des institutions(CTRI) qui a pris le pouvoir, a annoncé tôt ce mercredi l’annulation des élections, la dissolution de toutes les institutions de la République et la fin du régime d’Ali Bongo
Ali Bongo Ondimba est le vainqueur de ces élections à un tour avec 64,27% des suffrages exprimés. Son principal rival n’a recueilli que 30,77% des voix.
Le président du Gabon Ali Bongo Ondimba est «en résidence surveillée» entouré de sa famille et de ses médecins et l’un de ses fils a été arrêté, notamment pour «haute trahison», ont annoncé mercredi les militaires auteurs d’un coup d’État dans la matinée.
«Le président Ali Bongo est gardé en résidence surveillée, entouré de sa famille et de ses médecins», selon un communiqué lu à la télévision d’État par les militaires du Comité de Transition et de Restauration des Institutions (CTRI).
par Webmaster | 23 08 23 | Actualitès, Le monde
La Russie a annoncé qu’Evguéni Prigojine est mort ce mercredi.Il se trouvait à bord d’un avion qui s’est écrasé au Nord de Moscou. Aucun des 10 passager n’a survécu au crash qui a lieu dans la région de Tver en Russie alors qu’il effectuait une liaison Moscou-Saint-Pétersbourg.
Wagner était le surnom de Dmitri Outkine durant son passage dans les forces spéciales russes. Néonazi et admirateur du IIIe Reich, son pseudonyme provient du compositeur allemand Richard Wagner.
Fondé le 1er mai 2014, le groupe paramilitaire Wagner, connu aussi sous le nom de PMC Wagner, ChVK Wagner ou bien CHVK Vagner, travaille dans l’ombre . le groupe militaire met les pieds en Afrique et se déploie en Centrafrique en 2018, en Libye en 2019 et au Mali en 2021.
En 2022, alors que les mercenaires sont déployés sur le front ukrainien, et notamment à Bakhmout, Evgueni Prigojine entame un bras de fer avec Poutine, menaçant de se retirer si des munitions ne lui sont pas livrées. Prigojne accuse même l’état-major de « trahison de la patrie ».