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Algérie-Mauritanie: projets complémentaires prometteurs pour un partenariat stratégique

ALGER – Les projets complémentaires prometteurs qui se concrétisent sur le terrain entre l’Algérie et la Mauritanie traduisent la volonté forte des deux pays de promouvoir et de hisser leur coopération bilatérale vers de plus larges perspectives et d’imprimer une nouvelle dynamique aux échanges économiques et commerciaux entre les deux parties en vue d’établir un partenariat stratégique global.

Dans le cadre de cette démarche, le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a entamé, jeudi, une visite dans la wilaya de Tindouf, où il procèdera, en compagnie de son frère le président de la République islamique de Mauritanie, M. Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, à l’inauguration et à la pose de la première pierre de nombre de projets stratégiques communs dans cette région frontalière.

Lors de cette visite, le président de la République doit procéder, en compagnie de son homologue mauritanien, à l’inauguration des postes frontaliers fixes des deux pays et donner le coup d’envoi du projet de réalisation de la route Tindouf (Algérie)-Zouerate (Mauritanie).

Les deux Présidents procèderont ensuite à la pose de la première pierre du projet de réalisation de la zone franche à Tindouf.

Ces derniers mois, les échanges de visites officielles entre les deux pays se sont intensifiés et la concertation et la coordination bilatérales se sont accentuées, à la faveur de la volonté affichée par le président de la République et son homologue mauritanien, et de leur ambition commune de hisser les relations fraternelles profondes et privilégiées entre les deux pays aux plus hauts rangs et de tendre vers davantage de convergence de leurs positions vis-à-vis des questions d’intérêt commun.

La dernière visite en date d’un responsable algérien en Mauritanie est celle effectuée, il y a deux semaines, par le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, M. Ahmed Attaf, en qualité d’Envoyé spécial du président de la République.

Dans une déclaration à la presse à l’issue de l’audience que lui a accordée le président mauritanien, qui, rappelle-t-on, avait effectué une visite d’Etat en Algérie en décembre 2021, M. Attaf a déclaré que, conformément à leurs positions de principe et à leurs orientations convergentes, l’Algérie et la Mauritanie, qui sont des vecteurs de stabilité et de sécurité dans la région, « comptent intensifier leurs efforts communs pour influer positivement sur le cours des événements au mieux des intérêts des pays et peuples de leur voisinage régional ».

Les relations bilatérales sont « en plein essor », notamment dans le contexte des projets complémentaires et intégrés que les présidents algérien et mauritanien ont décidé de lancer, dont le projet stratégique de route Tindouf-Zouerate, la zone franche entre les deux pays, le parachèvement des travaux des deux postes frontaliers et l’inauguration de la première banque algérienne et de la première foire permanente des produits algériens dans ce pays frère, sans parler des projets bilatéraux à dimension humaine et sociale, a-t-il affirmé.

Grâce au projet de route reliant les villes de Tindouf (Algérie) et Zouerate (Mauritanie) sur près de 800 km, l’Algérie a réussi, pour la première fois depuis son indépendance, à réaliser une infrastructure d’envergue en dehors de ses frontières, et ce, grâce à des entreprises algériennes qui ont participé à toutes les étapes de réalisation.

La zone franche El-Mougar, objet mardi d’une réunion de travail présidée par le président de la République, se veut un accès vers l’Afrique de l’Ouest. Elle s’ajoutera aux autres zones franches qui seront créées dans le sud du pays, notamment à Tin Zaouatine, Timiaouine, Bordj Badji Mokhtar et Debdeb.

De plus, le poste frontalier terrestre Chahid-Mustapha-Benboulaid, qui relie les deux pays, aura un impact considérable sur l’augmentation du volume des échanges commerciaux qui ne cessent de croître entre les deux pays.

La Mauritanie est la première étape du processus d’ouverture de succursales de banques algériennes en Afrique. A ce titre, après l’ouverture de sa première agence commerciale dans ce pays voisin, en septembre dernier, l’Algerian Union Bank (AUB) a inauguré récemment sa nouvelle agence commerciale à Nouadhibou (Mauritanie) en vue de fournir de véritables services de proximité, de renforcer les échanges commerciaux et de promouvoir la dynamique économique et commerciale entre les deux pays frères.

Il convient de noter que l’Algérie est l’un des principaux partenaires économiques de la Mauritanie, la valeur des exportations algériennes vers ce pays ayant connu une augmentation constante au cours des trois dernières années dépassant 200%. Une tendance à la hausse qui devrait se renforcer davantage à l’avenir à la faveur de l’entrée en service des projets stratégiques entre les deux pays.

Afin de fluidifier leurs échanges commerciaux, l’Algérie et la Mauritanie avaient décidé, lors de la 6e session de la Commission mixte algéro-mauritanienne de coopération douanière, tenue en novembre dernier à Alger, de renforcer la coopération douanière bilatérale et de faciliter les échanges transfrontaliers.

Les deux pays avaient alors mis l’accent sur la nécessité d’activer l’ensemble des mécanismes à même de faciliter et de sécuriser la circulation des marchandises et des voyageurs afin de lutter contre toutes les formes de criminalité transfrontalière, appelant à la levée de tous les obstacles susceptibles d’entraver la mise en œuvre effective de ces mécanismes sur le terrain.

Les Présidents Tebboune et Ould Cheikh El Ghazouani ont veillé à établir un partenariat stratégique global, qui soit exemplaire dans la région et qui reflète la solidité des relations historiques enracinées entre les deux pays, et se sont engagés à œuvrer à le hisser à la hauteur de la fraternité et de l’amitié qui lient les deux peuples frères.

Source:APS

COMMUNIQUE DU MUDEM

Réuni en session extraordinaire le bureau exécutif du Mouvement pour l’Unité et la Démocratie en Mauritanie (MUDEM), après analyse de la situation du pays tant sur le plan national que sur le plan international et aux vues des avancées notoires étayées par plusieurs éléments clés :

1-La tenue d’un discours novateur empreint de franchise,
2- L’ouverture politique et démocratique apaisante avec une pacification de la scène politique nationale,
3- Des progrès dans la bonne gouvernance enregistrée,4- Une gestion rationnelle et seine des Finances publiques,
5- Un intérêt certain et marqué pour la solidarité et la prise en charge des populations les plus démunies,
6- Une restauration de l’image et de la crédibilité de la Mauritanie auprès de ses traditionnels alliés.

Les avancées observées au cours de ce premier mandat, reflètent un climat de progrès et d’évolution positive, tant sur le plan politique que sur le plan économique. Aussi, Il est important de continuer dans cette voie et de consolider ces acquis pour le bien être de notre pays.

Pour ces raisons,

– Notre Mouvement affirme sa confiance sans réserve dans les politiques mises en œuvre par le Président de la République depuis son accession au pouvoir.

– Apprécie l’ensemble des réalisations économiques et sociales accomplies jusqu’à présent et son soutien aux projets à venir en faveur de la justice sociale.

– Déclare son soutien plein et entier aux mesures novatrices adoptées par l’Etat dans le cadre de la lutte contre la corruption et le pillage des ressources du pays et son adhésion totale à la politique d’ouverture initiée par le président de la République à l’endroit de toutes les forces politiques du pays.

En outre, il décide d’apporter son soutien actif au Président de la République pour contribuer au succès du programme électoral présidentiel et confirme son adhésion à la mouvance présidentielle.

Nouakchott, le 15 Février 2024

Pour le Président du MUDEM et au nom du Bureau exécutif

Le Secrétaire Chargé de la Communication

GATTA BOCAR BA

 

Communiqué du Conseil des Ministres

Le Conseil des ministres s’est réuni le mercredi, 21 février 2024, sous la Présidence de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani.

Le Conseil a examiné et approuvé le projet de loi autorisant la ratification de l’Accord de prêt, signé le 24 janvier 2024 entre le Gouvernement de la République Islamique de Mauritanie et le Fonds Africain de Développement (FAD), destiné au financement du Projet d’Interconnexion Electrique en 225 KV Mauritanie –Mali et de développement de centrales solaires associées (PIEMM).

Le projet consiste en la construction d’infrastructures électriques, notamment une ligne à haute tension de transport électrique (225 kilovolts), d’une longueur de 1.373 km et d’une capacité de transit de 600 mégawatts entre le Mali et la Mauritanie.

De même, il permettra la construction d’une douzaine de postes associés, le développement de centrales solaires, dont une à Kiffa de 50 mégawatts, ainsi que le déploiement de réseaux MT/BT le long du couloir de la ligne.

Soutenant le développement des volets Gas-to Power et hydroélectricité, ce projet permettra également :

‐ L’électrification de 150 localités riveraines de la ligne 225 kilovolts avec l’éclairage public des rues ; et

‐ La réalisation de 80.000 branchements avec compteurs intelligents à prépaiement dans les localités traversées.

Le montant de ce prêt s’élève à 202.700.000 unités de compte, soit l’équivalent de 10,6 milliards MRU.

Le Conseil a également examiné et adopté les projets de décrets suivants :

‐ Projet de décret portant nomination du Président et des membres du Conseil d’Administration de l’Agence Judiciaire de l’État (AJE) ;

‐ Projet de décret portant nomination du Président du Conseil d’Administration du Centre Hospitalier de Sélibaby ;

‐ Projet de décret portant nomination des membres du Conseil d’Administration du Centre Hospitalier d’Aioun ;

‐ Projet de décret portant nomination des membres du Conseil d’Administration du Centre Hospitalier Kéadi ;

‐ Projet de décret portant nomination des membres du Conseil d’Administration du Centre Hospitalier de Bogué ;

‐ Projet de décret portant nomination des membres du Conseil d’Administration du Centre Hospitalier de Rosso ;

‐ Projet de décret portant nomination des membres du Conseil d’Administration du Centre Hospitalier de Nouadhibou ;

‐ Projet de décret portant nomination des membres du Conseil d’Administration de l’Agence Nationale de Recherches Géologiques et du Patrimoine Minier (ANARPAM).

Le ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération et des Mauritaniens de l’Extérieur a présenté une communication relative à la situation internationale.

Le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation a présenté une communication relative à la situation intérieure.

Le ministre de l’Élevage a présenté une communication relative à la situation pastorale et à l’estimation des besoins pour un plan d’assistance au cheptel.

Cette communication vise à élaborer un plan d’assistance à l’élevage au cours des prochains mois, qui repose sur deux volets fondamentaux :

‐ L’acquisition, le transport et la vente à des prix subventionnés d’un stock suffisant d’aliments pour bétail. L’objectif de cette intervention est de couvrir, d’une part, des besoins en aliment de 20% du bétail, et d’autre part, plus de 4.000.000 de têtes de bétail de toutes espèces, particulièrement jeunes.

‐ L’organisation d’une large intervention vétérinaire dans les zones de concentration animale. Ce volet vise la sauvegarde de l’état sanitaire du cheptel, à travers la vaccination, la prévention et le traitement contre les maladies, en couvrant un cheptel estimé à 2.947.000 têtes, toutes espèces confondues. Le coût estimatif de ce volet est de l’ordre de 30.000.000 MRU, dont 25.000.000 MRU pour l’acquisition des médicaments.

Le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de l’Aménagement du Territoire a présenté une communication relative au processus d’élaboration du Schéma National d’Aménagement du Territoire (SNAT).

Cette communication vise la planification stratégique et la coordination des politiques de croissance, en particulier les aspects liés à la justice territoriale, à l’amélioration des ressources, au développement des infrastructures et à la protection de l’environnement, ainsi qu’à la gestion des risques et à l’amélioration de la qualité de la vie résidentielle.

 

 

Au Sénégal, le Conseil constitutionnel invalide le report de la présidentielle

Le Conseil constitutionnel a jugé jeudi que le texte de loi adopté par le Parlement pour reporter l’élection présidentielle au Sénégal viole la Constitution et doit être annulé. Le report prévu du scrutin du 25 février au 15 décembre, voté par l’Assemblée nationale, a provoqué une onde de choc dans le pays et de violentes manifestations.

Le Conseil constitutionnelle a par ailleurs annulé le décret du président Sall qui, trois semaines seulement avant l’échéance, modifiait de facto le calendrier électoral.

Le conseil constitutionnel fonde sa décision sur un principe de sécurité juridique, l’article 103 qui indique que personne ne peut réformer le nombre et la durée du mandat du président. Selon lui, le report de la présidentielle viole cet article intangible de la Constitution qui verrouille le nombre et la durée du mandat du président.

Cependant,le Conseil constitutionnel affirme dans un considérant de sa décision que, « constatant l’impossibilité d’organiser l’élection présidentielle à la date initialement prévue, invite les autorités compétentes à la tenir dans les meilleurs délais ».Un considérant qui risque de poser plus de problème que le report de l’élection elle-même :créé une crise dans la crise.

 

Appel des anciens présidents du Sénégal Diouf et Wade

 Les anciens présidents Abdou Diouf et Abdoulaye Wade invitent l’ensemble de la classe politique ainsi que la société civile à participer au dialogue national lancé par le chef de l’Etat, Macky Sall pour ”des discussions franches et loyales” afin que ”la prochaine élection présidentielle du 15 décembre 2024 soit tenue dans des conditions parfaitement transparentes, inclusives et incontestables”.

”Nous appelons l’ensemble des dirigeants politiques, du pouvoir et de l’opposition, ainsi que les responsables de la société civile, à participer à des discussions franches et loyales, afin que la prochaine élection présidentielle du 15 décembre 2024 soit tenue dans des conditions parfaitement transparentes, inclusives et incontestables. Ils ont le devoir de garantir que notre Sénégal restera un modèle de démocratie pour l’Afrique’’, déclarent Abdou Diouf et Abdoulaye Wade.

Dans une déclaration conjointe rendue publique, lundi, adressée à leurs ”compatriotes”, les deux anciens dirigeants soulignent que ‘’c’est avec beaucoup de tristesse’’ qu’ils vivent ‘’ les récents événements qui secouent notre cher Sénégal’’ marqués par la mort de trois jeunes à Saint-Louis, Dakar et Ziguinchor.

Abdou Diouf et Abdoulaye Wade présentent leurs ‘’plus sincères condoléances” aux familles et proches des victimes.

Ils déclarent s’adresser à leurs compatriotes ‘’en tant qu’anciens Présidents de la République du Sénégal, pères, avec Léopold Sédar Senghor, de la démocratie sénégalaise obtenue de haute lutte, mais aussi anciens irréductibles adversaires politiques qui nous sommes vigoureusement opposés par le passé’’

”Nous avons su discuter et dialoguer dans l’intérêt du Sénégal pour mettre un terme à nos différends et aux crises politiques, et cela dans le seul but de préserver la paix et les vies’’, soulignent-ils.

Ils estiment que les responsables de la classe politique actuels n’ont pas ‘’le droit de faire moins’’ qu’eux.

Diouf et Wade appellent à la jeunesse dont ils disent comprendre ‘’les frustrations et le désarroi, à arrêter immédiatement les violences et la destruction de biens, et surtout à prendre du recul pour ne pas être manipulée par des forces extérieures aux desseins obscurs’’.

Ils disent également s’être entretenus ‘’longuement au téléphone avec le Président de la République, Macky Sall’’ qui leur a réaffirmé ‘’son engagement, pris devant la Nation le 3 juillet dernier, de ne pas briguer un troisième mandat et de quitter le pouvoir aussitôt après l’élection présidentielle’’.

”Il a pris l’engagement de ne ménager aucun effort pour préserver la stabilité du Sénégal, nous lui avons demandé d’organiser dans les plus brefs délais le dialogue national qu’il a annoncé et qui, comme nous le souhaitons ardemment, devra déboucher sur une large réconciliation nationale dans le respect de la Constitution et de l’Etat de droit’’, ont-ils assuré.

Le Sénégal est en proie à une crise politique après que le président Macky Sall a annulé le décret avec lequel il avait convoqué les Sénégalais aux urnes le 25 février prochain pour l’élection d’un nouveau président de la République.

En prenant cette décision, il a invoqué des soupçons de corruption concernant des magistrats parmi ceux qui ont procédé à l’examen des 93 dossiers de candidature et jugé recevables 20 d’entre eux.

L’Assemblée nationale a voté une proposition parlementaire reportant l’élection présidentielle au 15 décembre prochain. Lors du vote, des députés protestant contre cette proposition et le report du scrutin ont été expulsés de l’hémicycle par la Gendarmerie nationale.

Des candidats au scrutin présidentiel et des députés ont saisi le Conseil constitutionnel en vue de l’annulation de la décision du président de la République et l’organisation du vote à la date initialement prévue.

Source:APS

Signature d’une convention de partenariat entre la HAPA de Mauritanie et la HACA du Maroc

Le président de la Haute Autorité de la presse et de l’audiovisuel de Mauritanie, Houssein Ould Meddou, et Latifa Akharbach, présidente de la Haute Autorité de la communication et de l’audiovisuel du Maroc, ont procédé, le mardi 16 janvier 2024 à Nouakchott, à la signature d’une convention de partenariat et de coopération entre les deux instances de régulation.

Le document signé rappelle que l’enjeu principal de la régulation autonome des médias est la consolidation de la culture et de la pratique démocratiques, le renforcement du respect des Droits de l’Homme dans et par les médias, la protection des publics et la garantie de leur droit à une information fiable et de qualité. Il prévoit la mise en œuvre d’une série d’actions visant à améliorer les procédures et les outils de régulation en matière notamment de monitoring et de suivi des programmes, de veille professionnelle et de méthodologies d’adaptation de la régulation au nouvel environnement numérique des médias.

Plusieurs thématiques ont également été sélectionnées en vue de concertations et d’échanges d’expérience entre la HACA et la HAPA, telles que la gestion de l’expression pluraliste ou encore la promotion de la diversité culturelle et linguistique dans les médias audiovisuels.

Lors de cette visite de travail du 15 au 17 janvier à Nouakchott à l’invitation de son homologue mauritanien, Mme Akharbach a également tenu une série de séances d’échanges et de concertations concernant les prochaines échéances des réseaux multilatéraux de régulateurs au sein desquels les deux instances sont membres. Il s’agit notamment du Réseau des instances africaines de régulation de la communication (RIARC), dont la HACA assure la présidence pour la période 2023-2024, du Réseau francophone des régulateurs des médias, ainsi que le Forum des autorités de régulation de l’audiovisuel des Etats membres de l’Organisation de la coopération islamique.

 

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