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Arabie Saoudite : les mosquées interdites de diffuser les prières pendant Ramadan à deux exceptions près

Le ministère saoudien des Affaires islamiques saoudien a annoncé, mercredi 23 mars, l’interdiction aux mosquées de filmer et de diffuser « dans les médias de toute nature » les prières pendant le mois de Ramadan.Le ministère a également signifié aux lieux de culte musulmans du royaume d’autres obligations à observer durant le mois de jeûne. Il a notamment demandé à ceux qui souhaitent organiser des repas de rupture du jeûne d’envoyer une demande préalable au ministère des Affaires islamiques et a interdit la collecte de dons pour l’organisation de ces événements dans plusieurs régions. Il a aussi incité les fidèles à éviter d’amener des enfants à la mosquée pour ne pas gêner les prières.Cette décision ne concerne cependant pas les mosquées de la Mecque et de Médine.

 

 

 

 

Libération de deux otages au Mali

Enlevés début mars dans le nord du Mali, deux travailleurs humanitaires employés par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) ont été libérés dimanche et sont « sains et saufs », a annoncé la branche malienne du CICR sur Twitter.

Les deux collaborateurs du CICR avaient été enlevés le 4 mars entre Gao et Kidal.

Les décès provoqués par la violence des islamistes militants d’Afrique augmentent de près de 50 %

La violence liée aux groupes islamistes militants en Afrique a fortement augmenté de 22 % sur les douze derniers mois, avec 6.859 événements. Cela représente un nouveau record de violence extrémiste ainsi qu’un doublement des ces évènements depuis 2019.

La violence des islamistes militants en Afrique continue de se focaliser sur cinq théâtres, à savoir le Sahel, la Somalie, le bassin du Lac Tchad, le Mozambique et l’Afrique du Nord. Chacun de ces théâtres se définit par des acteurs locaux et des défis particuliers à son contexte.

Fait préoccupant, les décès attribués aux groupes islamistes militants ont augmenté de 48 % cette année.

Les 19.109 décès estimés attribuables aux islamistes militants dépassent le dernier pic de 18.850 décès atteint en 2015 quand Boko Haram était à son apogée. Cela représente aussi un revirement brutal par rapport à 2021 lorsqu’une légère diminution de décès, atteignant 12.920, avait été enregistrée.

L’escalade des décès résulte dans sa totalité de l’augmentation de la violence au Sahel et en Somalie, où 74 % des décès se sont produits. En effet, les décès attribuables aux extrémistes ont soit atteint un plateau, soit diminué dans le bassin du Lac Tchad, au Mozambique et en Afrique du Nord.

Ce pic dans les décès liés aux militants islamistes s’est caractérisé par une augmentation de 68 % des décès de civils et de violence à distance (cette dernière visant souvent les civils). Cela met en relief le lourd tribut payé par les non-combattants.

Avec 2.737 évènements violents, soit une augmentation de 36 %, l’ouest du Sahel (Burkina Faso, Mali et ouest du Niger) a subi l’année dernière la plus importante augmentation d’évènements violents impliquant des islamistes violents de toute région d’Afrique.

Les décès imputables aux groupes islamistes militants ont augmenté encore plus rapidement, de 63 % soit 7.899 décès. Pour mettre ces chiffres en perspective, le Sahel a subi un quasi-doublement (une augmentation de 90%) des décès et plus qu’un doublement (une augmentation de 130%) d’évènements violents liés aux groupes islamistes militants depuis 2020.

Cette période est notable puisqu’elle coïncide avec la prise de pouvoir en août 2020 d’une junte militaire au Mali qui a justifié son putsch comme étant nécessaire pour répondre à la menace sécuritaire des islamistes militants. Or, au lieu de diminuer, la tendance de la violence n’a fait que s’accélérer. Par ailleurs, de plus en plus d’attaques se produisent dans un rayon de 150 km de Bamako. En 2022, la junte a exigé le départ des forces françaises, affaibli le mandat de la force de maintien de la paix de l’ONU, la MINUSMA, et accueilli des paramilitaires russes du groupe Wagner.

« 40 % de toute l’activité des groupes islamistes militants, plus que toute autre région d’Afrique, se produit maintenant au Sahel ».

Un schéma similaire se déroule au Burkina Faso où le premier de deux coups d’États militaires s’est produit en janvier 2022. Le pays a par la suite subi cette année une augmentation de 69 % des décès, atteignant 3.600 morts imputables aux islamistes militants.

40 % de toute l’activité des groupes islamistes militants, plus que toute autre région d’Afrique, se produit maintenant au Sahel.

La coalition Jama’at Nusrat al Islam wal Muslimin(JNIM), notamment le Front de libération du Macina (FLM), Ansaroul Islam et Ansar Dine, sont liés à environ 77 % de la violence militante et à 67 % des décès au Sahel. L’État islamique au Grand Sahara (EIGS) est responsable du reste.

« Il s’est produit une augmentation de 49 % des décès liés à la violence contre les civils des groupes islamistes militants l’année dernière ».

Il s’est produit au Sahel une augmentation surprenante de 49 % des décès liés à la violence contre les civils des groupes islamistes militants l’année dernière, avec 978 attaques. La région comptabilise maintenant 60 % des décès civils attribuables à l’extrémisme violent en Afrique.

L’arrivée du groupe Wagner dans ce théâtre a encore aggravé la violence contre les civils au Sahel. En effet, 726 décès de civils lui sont attribuables, comparé à 1.984 décès de civils attribuables aux militants islamistes, soit un taux de 1 décès civil sur 2,7 victimes de la violence des militants.

Si 90 % des évènements violents au Sahel se sont produits au Burkina Faso et au Mali, l’année dernière se distingue du fait de l’augmentation importante d’évènements violents survenus dans les États côtiers. Ces derniers sont ainsi passés de 5 à 37 au Bénin et de 1 à 17 au Togo.

Le Niger a lui aussi subi une augmentation de 43 % des évènements violents l’année dernière, pour atteindre 214 évènements. Cependant, le nombre de décès a été divisé par deux, soit 539 morts.

La violence des islamistes militants au Sahel a aussi entrainé le déplacement de plus de 2,6 millions de personnes. Le Burkina Faso comptabilise la majorité de ces déplacements, avec 1,8 millions de personnes déplacées.

La tendance la plus remarquable au cours de l’année écoulée en Somalie s’est révélée être l’augmentation de 133 % dans le niveau de décès attribuables à la violence des groupes islamistes militants, en particulier à al Shabaab. Ainsi, 6.225 décès imputables à al Shabaab sont survenus en 2022, une augmentation par rapport à 2021 lorsque 2.606 décès s’étaient produits. Ce niveau de décès, qui surpasse le total de 2020 et 2021 compris, est un nouveau record.

La Somalie a subi une augmentation de 23 % de la violence impliquant al Shabaab l’année dernière avec 2.553 évènements. Cela représente 37 % des évènements extrémistes en Afrique, un peu moins qu’au Sahel. C’est la première fois depuis 2007 que la Somalie n’a pas subi la part la plus importante d’évènements violents en Afrique au cours d’une même année.

La Somalie se distingue encore une fois par le pourcentage relativement élevé de batailles puisqu’elles représentent 70% de la violence impliquant al Shabaab. Cela reflète les efforts collectifs pour contrer al Shabaab de l’armée nationale somalienne, des forces des États membres fédéraux, des milices de clans et de la mission de transition de l’Union africaine en Somalie (ATMIS).

Le rythme de batailles s’est accéléré en 2022 après l’élection du président Hassan Sheikh Mohamud en mai et son appel à une offensive tous azimuts contre al Shabaab. Cette offensive a chassé al Shabaab des villes qu’il contrôlait auparavant, entrainant de violentes représailles. L’augmentation de presque 25 % dans le nombre de batailles en Somalie reflète cette offensive, avec un rythme qui s’est encore accéléré pendant le deuxième semestre de l’année.

La deuxième moitié de 2022 révèle aussi une augmentation par al Shabaab de sa violence contre les civils (avec un saut de 41 % par rapport à la première moitié de l’année, passant de 82 à 116 attaques). Cela suggère que l’offensive a mis al Shabaab sur la défensive et il s’est vengé en s’en prenant à des cibles vulnérables, comme le double bombardement d’octobre qui a tué plus de 100 personnes et blessé des centaines d’autres à Mogadishu.

Le théâtre somalien se distingue également par une augmentation de 34 % d’attaques à l’engin explosif improvisé (IED) et un doublement des décès liés à ce type d’attaques. Selon l’ONU, 613 civils ont été tués et 948 blessés en 2022, la majorité par des IED détonés par al Shabaab. Les actions des forces de sécurité étatiques, des milices de clans et d’autres acteurs non-identifiés sont aussi responsables de morts de civils.

La Somalie subit en ce moment sa cinquième saison consécutive de faible pluviométrie et devrait souffrir d’une sixième saison de pluies plus faibles que la moyenne en mars-juin 2023. Cela affectera 8,3 millions de personnes. La plupart de la région fait face un niveau extrême d’insécurité alimentaire, y compris une possible famine dans les territoires qu’al Shabaab conteste ou contrôle. Cela met en relief les défis de l’accès à l’aide humanitaire et parfois même le sabotage des livraisons d’aide alimentaire.

Concernant le Bassin du Lac Tchad,la violence des groupes islamistes militants s’est globalement plafonnée cette année, après une diminution de 32 % entre 2020 et 2021. Les 952 évènements recensés dans le bassin du Lac Tchad, qui s’étale sur quatre pays, (le Nigeria, le Cameroun, le Tchad et le sud-est du Niger) représentent une augmentation de 4% dans le niveau des activités des islamistes militants par rapport à 2021.

Les 3.821 décès liés à ces évènements cette année, quoique représentant une diminution de 5% par rapport à l’année dernière, reflètent aussi un ralentissement comparé à la diminution de 19 % de l’année précédente. Le bassin du Lac Tchad demeure le troisième théâtre le plus meurtrier d’Afrique, subissant 20 % des décès liés aux islamistes militants.

Cette année a cependant vu une augmentation de 33 % de la violence envers les civils, entrainant un doublement des décès attribuables aux attaques des militants (de 299 à 598). Cela constitue un revers brutal de la baisse de presque 50 % dans les attaques contre les civils en 2021.

« Cette année a cependant vu une augmentation de 33 % de la violence envers les civils, entrainant un doublement des décès attribuables aux attaques des militants »

Le bassin du Lac Tchad a aussi vécu une résurgence de Boko Haram en 2022. Boko Haram était depuis 2017 dans un déclin relatif comparé à la menace relative posée par la branche de l’État islamique en Afrique de l’Ouest (ISWA). Au cours de cette année, Boko Haram a en effet été lié à une augmentation de 57 % des évènements violents et de 70 % des décès. Alors même que l’ISWA reste associé à plus de violence dans la région, les niveaux de violence attribuables aux deux groupes sont aujourd’hui comparables.

Ces changements coïncident avec une diffusion géographique des attaques au-delà de l’État de Borno dans le nord-est du Nigeria. Les États de Kano, Kogi, Niger et Taraba ont tous ainsi subi des attaques de l’ISWA cette année. L’ISWA a aussi revendiqué le bombardement d’une église dans l’État d’Ondo (région du sud-ouest) et des attaques ambitieuses contre des casernes militaires et une prison dans la banlieue d’Abuja, ainsi qu’une tentative d’attaque sur une caserne militaire près de la frontière du Bénin dans l’État Niger à l’ouest du pays. De même, Boko Haram a aussi été lié à des évènements violents dans le nord-ouest du Nigeria et Boko Hara et ISWA ont aussi été liés à une escalade relative de la violence au Tchad et dans le sud-est du Niger.

Au nord du Mozambique, le nombre d’évènements violents recensés au nord du Mozambique a augmenté de 29 % en 2022 pour atteindre 223. Cela représente un renversement de la diminution de 23 % enregistrée en 2021. La violence est donc revenue aux niveaux de 2020, avant l’intervention des forces de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) et du Rwanda. Après avoir été délogés des villes côtières de Palma et de Mocimboa da Praia, des petits groupes de militants se sont dispersés dans les districts plus ruraux à l’ouest et au sud, prenant pour proie des villages et commettant meurtres, décapitations, enlèvements, pillages et destruction des biens.

Le nord du Mozambique s’est toujours tristement démarqué pour ses niveaux élevés de violence contre les civils. Ce schéma se perpétue avec un nouveau pic d’attaques contre les civils cette année, ces évènements augmentant de 120 % pour atteindre 288 incidents et renversant un déclin temporaire en 2021. De même, les décès liés à la violence contre les civils ont augmenté de 57 % pour atteindre 430 morts. La violence contre les civils représente 66 % des évènements violents dans le nord du Mozambique, plus que dans toute autre région d’Afrique.

Plus d’un million de personnes sont déplacées en interne dans les quatre provinces de Cabo Delgado, Niassa, Nampula et Zambézia à cause de l’augmentation et la diffusion géographique de cette violence.

En Afrique du Nord les évènements violents attribuables aux groupes islamistes militants en Afrique du Nord ont diminué de 32 % cette année. Cela continue une tendance à la baisse de la violence extrémiste dans la région.

Le nombre d’évènements violents imputables aux militants islamistes a aujourd’hui retrouvé celui d’avant l’avènement de l’EI en 2013. Les 276 décès attribuables à ces évènements représentent un déclin de 14 fois le nombre de morts recensés dans en Afrique du Nord lorsque l’EI était à son apogée.

Presque toutes les activités des islamistes militants dans cette région (quasiment 90 %) ont été recensées en Égypte. Ce déclin constant s’est produit au même moment que la formation d’une union de tribus du Sinaï qui se sont jointes pour combattre l’EI. Si le nombre de batailles est resté le même en 2022, la violence à distance et la violence contre les civils ont diminué de 60 % et 21 % chacune.

Source:le Centre d’études stratégiques de l’Afrique.

 

 

Les liaisons dangereuses de Trump. Il a assuré samedi sur son réseau social Truth Social qu’il allait être « arrêté » mardi

Donald Trump a assuré samedi sur son réseau social Truth Social qu’il allait être « arrêté » mardi et a appelé à des manifestations, avant une possible inculpation dans une affaire de paiement en 2016 visant à acheter le silence d’une actrice pornographique avec laquelle il aurait eu une liaison.
Évoquant une « fuite » du parquet des procureurs de l’Etat de New York, pour le district de Manhattan, l’ancien président américain a écrit en lettres majuscules: « Le candidat du parti républicain très loin devant (ses rivaux à la primaire, ndlr) et ancien président des Etats-Unis d’Amérique va être arrêté mardi de la semaine prochaine. Manifestez, reprenez notre nation! »
La semaine dernière, Michael Cohen, ancien avocat personnel de Donald Trump et devenu l’un de ses pires ennemis, a témoigné au moins à deux reprises devant le grand jury dans cette enquête liée à un accord de non-divulgation concernant Mme Clifford.

Les investigations des procureurs new-yorkais portent sur le versement en 2016 de 130.000 dollars par Michael Cohen à l’actrice pornographique pour acheter son silence sur une présumée relation qu’elle aurait eue avec Donald Trump.

Ancien fidèle du milliardaire républicain, Michael Cohen a déjà été condamné dans cette affaire.

Convaincu que l’élection de 2020 lui avait été « volée » par Joe Biden, Donald Trump avait déjà appelé ses partisans à se mobiliser en amont du 6 janvier 2021, attisant la crise politique qui a culminé avec l’assaut de ses soutiens contre le Capitole, où siège le Congrès.

Source:Nice-Matin

Équipements militaires Russes et Turque pour le Mali

Le Président de la Transition au Mali, le colonel Assimi Goïta a réceptionné ce mercredi à Bamako,des équipements militaires de la Russie et de la Turquie.

Ces équipements devraient permettre aux Forces armées maliennes d’améliorer leur «puissance de frappe», a déclaré le ministre de la Défense et des anciens combattants, le Colonel Sadio Camara qui s’est félicité du soutien de la Russie et de la Turquie, lors de la cérémonie de leur remise officielle.

«Ces nouveaux systèmes d’armes composés de plusieurs drones de type Bayraktar TB2 et des avions de chasse L-39 ALBATROS sont le fruit du partenariat entre le Mali et la Fédération de Russie et la République de Turquie», a ajouté le ministre Camara en remerciant les deux pays qu’il a qualifiés de «partenaires fiables et sincères du Mali».

La Russie avait déjà livré au Mali en janvier dernier, un lot d’avions et d’hélicoptères de guerre de fabrication Russe.

Depuis le refroidissement de ses relations avec ses partenaires européens ,le Mali a fait de la Russie son nouveau allié et fournisseur de materiel militaire.

 

 

Libye : 2,5 tonnes d’uranium qui avaient disparues retrouvées

L’Armée nationale libyenne (ANL) a publié une vidéo le 16 mars 2023 affirmant avoire retrouvé l’uranium signalé disparu par l’AIEA.

Le général Khaled al-Mahjoub, commandant de la direction de la communication des forces de l’Armée nationale libyenne (ANL) de l’homme fort de l’Est libyen, Khalifa Haftar, a indiqué sur Facebook que les conteneurs avaient été retrouvés à « à peine cinq kilomètres » du site où ils étaient stockés dans la région de Sebha dans le sud du pays.

Il a publié une vidéo montrant un homme portant une combinaison de protection comptant, en anglais, 18 barils de couleur bleu, soit l’ensemble de l’uranium qui était stocké sur le site. « La situation est sous contrôle. L’AIEA a été informée », a déclaré le général Mahjoub à l’AFP.

Le général Mahjoub a affirmé sur Facebook qu’après que la disparition des conteneurs a été constatée lors d’une visite des inspecteurs de l’AIEA, « une force de l’ANL,les a retrouvés à peine cinq km du dépôt en direction de la frontière tchadienne ». Il a estimé que les conteneurs avaient été volés avant d’être abandonnés « par une faction tchadienne, en croyant qu’il s’agissait d’armes ou de munitions ».Il affirme par ailleurs que les personnels chargés de surveiller le site étaient postés à une certaine distance pour éviter de s’exposer à des radiations, le général Mahjoub a appelé l’AIEA à leur fournir les équipements de protection nécessaire pour qu’ils puissent le contrôler de plus près.

« Nous sommes au courant des informations de presse selon lesquelles le matériel a été retrouvé et l’Agence s’efforce activement de les vérifier », affirme l’AIEA à Vienne. C’est Mercredi que l’agence ,dans declaration avait signalé la disparition d’environ 2,5 tonnes d’uranium naturel d’un site en Libye.

Au cours d’une visite mardi, des inspecteurs de l’Agence « ont découvert que 10 conteneurs avec environ 2,5 tonnes d’uranium naturel sous forme de concentré d’uranium ( « yellow cake ») n’étaient pas présents là où ils avaient été déclarés par les autorités », a écrit le dans un Selon le rapport du Directeur général Rafael Grossi aux Etats membres.

 

 

 

 

 

 

 

 

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