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L’Algérie rompt ses relations diplomatiques avec le Maroc!

par Webmaster | 24 08 21 | Actualitès, Focus, Le monde

Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a annoncé mardi 24 août la rupture des relations diplomatiques avec le Maroc voisin, en raison «d’actions hostiles» du royaume à l’égard de l’Algérie. «L’Algérie a décidé de rompre ses relations diplomatiques avec le Maroc à partir d’aujourd’hui», a déclaré le ministre algérien lors d’une conférence de presse.
ministre a expliqué les raisons de cette décision en affirmant que «l’histoire avait montré que le royaume du Maroc n’a jamais cessé de mener des actions hostiles à l’encontre de l’Algérie». Il a en outre fait porter «aux dirigeants du royaume la responsabilité des crises répétées, qui se sont aggravées», un comportement qui «entraîne le conflit au lieu de l’intégration dans la région» du Maghreb.

Mercredi dernier, le Haut Conseil de Sécurité, présidé par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, avait décidé de «revoir» les relations avec le Maroc, accusé d’être impliqué dans les incendies meurtriers qui ont ravagé le nord du pays. «Les actes hostiles incessants perpétrés par le Maroc contre l’Algérie, ont nécessité la révision des relations entre les deux pays et l’intensification des contrôles sécuritaires aux frontières Ouest», selon un communiqué officiel algérien.

Source lefigaro.fr

En 2030, un quart des habitants des pays se trouveront toujours en dessous du seuil de pauvreté international.

par Webmaster | 20 07 21 | Actualitès, Economie, Le monde

La reprise mondiale ne s’étend pas aux pays les plus pauvres.

News rim The world BankLa croissance mondiale s’envole à nouveau, un an seulement après que la pandémie de COVID-19 ait déclenché la récession la plus grave depuis la Seconde Guerre mondiale.  Cette année sera probablement marquée par la plus forte reprise à l’issue d’une récession observée depuis 80 ans puisque le PIB mondial devrait croître de 5,6 %. Le taux de croissance des pays avancés atteindra probablement 5,4 % — soit un niveau sans précédent depuis près de 50 ans —  grâce à la rapidité des mesures de vaccination et au soutien exceptionnel apporté par les politiques budgétaires et monétaires depuis le début de la pandémie. Le revenu par habitant retrouvera en 2022 le niveau qu’il avait avant cette dernière dans presque tous les pays avancés. Les dommages provoqués par la pandémie sont, à l’évidence, rapidement réparés dans certaines parties du monde.

Ce n’est toutefois pas le cas dans les 74 pays admissibles à emprunter à l’Association internationale de développement (IDA) de la Banque mondiale. Ces derniers sont les plus pauvres du monde, et comptent environ la moitié des habitants de la planète ayant moins de 1,90 dollar par jour pour vivre. Pour eux, il n’existe aucun signe de « reprise » mondiale. En 2021, leur taux de croissance sera le plus faible depuis 20 ans (abstraction faite de l’année 2020), ce qui aura pour effet d’éliminer des progrès accomplis dans le cadre de la lutte de la pauvreté des années durant. Pour eux, les dommages ne seront pas rapidement réparés. En 2030, un quart de leurs habitants se trouveront toujours en dessous du seuil de pauvreté international.

La COVID-19 fait donc le plus de mal aux personnes — et dans les lieux — qui peuvent le moins faire face. Alors même que les nations les plus riches commencent à retrouver le chemin de la prospérité et un semblant de normalité, la pandémie continue de faire des ravages dans les pays les plus pauvres.  Les taux de mortalité maternelle et infantile s’accroissent dans les pays IDA en raison de la réduction de l’accès à des services de santé et à la nourriture. Les conflits et l’instabilité aggravent encore les problèmes dans certains pays.

Une misère de cette ampleur s’est, tout au long de l’histoire, inévitablement propagée au-delà des frontières nationales. Les chefs d’État des pays africains — qui constituent plus de la moitié de tous les pays IDA —seront réunis demain à Abidjan (Côte d’Ivoire), dans le but d’appuyer une reconstitution accélérée et substantielle des ressources de l’IDA. Ils définiront les grandes priorités dans le but de financer une reprise résiliente après la crise COVID-19. Il est dans l’intérêt de tous les pays d’agir rapidement pour mobiliser les ressources nécessaires à la poursuite de cet effort.

« Alors même que les nations les plus riches commencent à retrouver le chemin de la prospérité et un semblant de normalité, la pandémie continue de faire des ravages dans les pays les plus pauvres.»

Ces pays auront besoin d’une aide importante pour pouvoir sortir de la récession causée par la COVID-19. En 2020, la pandémie avait pratiquement stoppé la croissance économique des pays IDA et provoqué une contraction de 2,3 % du revenu par habitant.  Selon notre analyse, la croissance de ces pays sera inférieure d’environ deux points de pourcentage par an en moyenne à celle des pays avancés de 2021 à 2023, ce qui ne fera que creuser l’écart déjà important entre les pays les plus riches et les pays les plus pauvres.

Des disparités importantes caractérisent également la riposte sanitaire à la COVID-9 : le rythme des vaccinations est d’une lenteur alarmante en raison du manque d’approvisionnement, des problèmes de passation de marchés et du manque de financement. En juillet, seulement trois doses de vaccins contre la COVID-19 pour cent personnes avaient été distribuées, soit moins d’un dixième de la proportion enregistrée dans les pays avancés.

Pour retrouver la voie de la convergence avec les pays plus riches, les pays IDA auront besoin de financements supplémentaires à hauteur de 376 milliards de dollars jusqu’en 2025 compris — qui viendront s’ajouter aux besoins de financement extérieur courants de 409 milliards de dollars. Un grand nombre de ces pays sont déjà fortement endettés, et n’ont donc guère de possibilité d’emprunter. Étant donné les difficultés budgétaires auxquelles sont confrontés la plupart des pays du fait de la pandémie, l’aide publique au développement demeurera probablement stationnaire, et pourrait même diminuer. Dans ces circonstances, les pays IDA auront de plus en plus besoin de bénéficier d’un appui sous forme de dons et de prêts ne portant pas intérêt.

L’IDA a montré qu’elle était une plateforme d’une efficacité exceptionnelle en ce domaine. Depuis plus de 60 ans, elle mobilise des ressources auprès de bailleurs de fonds et sur les marchés des capitaux dans le but de fournir un appui étroitement ciblé sous forme de financements concessionnels aux pays les plus pauvres. Il y a exactement un an, forte des contributions de 23,5 milliards de dollars de ses bailleurs de fonds, elle a entamé un cycle de trois ans durant lequel elle visait à accorder des financements à hauteur de 82 milliards de dollars aux pays les plus pauvres. Plus de la moitié de ce montant ayant déjà été engagé, il est nécessaire de procéder à une reconstitution précoce des ressources pour pouvoir fournir un appui à ces pays de juillet 2022 jusqu’à la fin de 2025.

Cette période sera cruciale — que ce soit pour maîtriser la COVID-19 à titre permanent ou replacer les économies les plus pauvres sur une trajectoire qui leur permettra de surmonter les défis de développement les plus graves auxquels ils seront confrontés à long terme. Il importera, dans une première étape, d’accélérer la fourniture de vaccins : les pays qui ont des doses excédentaires devraient en faire bénéficier les pays les plus pauvres, et les fabricants de vaccins devraient en priorité affecter les doses disponibles aux pays qui en ont le plus besoin. L’étape suivante consistera à formuler un ambitieux train de réformes — pour faciliter l’orientation de la main-d’œuvre et du capital vers des secteurs à forte croissance, réduire le coût des échanges et encourager des investissements — qui peuvent assurer une reprise verte, résiliente et inclusive.

Les pays IDA souhaitent ardemment atteindre ces deux objectifs. Ils ont toutefois besoin — et méritent —d’obtenir toute l’aide possible. Comme l’ont récemment noté les dirigeants présents au Sommet sur le financement des économies africaines : « Il nous incombe d’agir de concert pour lutter contre les graves disparités qui existent actuellement entre les pays et dans ces derniers. Il importera à cette fin de mener une action concertée pour monter un programme de financement très important de manière à donner l’élan nécessaire à l’activité économique ainsi que les moyens d’investir dans un avenir meilleur ».

Source: worldbank.org

Indermit Gill, Akihiko Nishio

Les forces Barkhane: attaquées par une voiture piégée

par Webmaster | 21 06 21 | Actualitès, Le monde

Mali: la force Barkhane attaquée

L’annonce sur le retrait imminent des forces Barkhane récemment évoqué par le président français Emmanuel Macron, n’a pas empêché la force anti-terroriste d’être la cible de nouvelles attaques.

En effet, les forces françaises de l’opération Barkane ont été frappées, lundi 21 juin au matin, par une attaque à la voiture piégée dans le quartier de Kaigourou, à Gossi (centre du Mali).

Selon des sources locales, l’attentat a fait plusieurs blessés au point que plusieurs hélicoptère ont été dépêchés depuis Gao, informe France24

Ibrahima Dieng/senenews

La tension se dissipe entre le Sénégal et la Guinée Conakry

par Webmaster | 20 06 21 | Actualitès, Le monde, Politique

Macky Sall et Alpha Condé signent un important accord

Bonne nouvelle : Macky Sall et Alpha Condé signent un important accord

Les tensions se dissipent entre le Sénégal et la Guinée Conakry. Lors du sommet de la CEDEAO, ce samedi à Accra, capitale du Ghana, le président sénégalais, Macky Sall, et son homologue de la Guinée Conacry, Alpha Condé, ont signé un important accord de coopération qui devrait aboutir à l’ouverture des frontières entre ces deux pays

En marge de l’ouverture du sommet des Chefs d’Etat de la CEDEAO, un moment historique et très attendu a eu lieu, avec la signature d’un important accord entre Alpha Condé et Macky Sall. En effet, les deux chefs d’Etat ont signé un protocole d’accord de coopération militaire et technique entre la République du Sénégal et la République de Guinée, sous les regards de leurs pairs

L’évènement historique a été modéré par Nana Akufo Addo, président en exercice de la conférence des Chefs d’Etat de la CEDEAO et également président du Ghana. Il a également facilité le rapprochement entre Alpha Condé et Macky Sall, comme le rapporte Africaguinée. Le résultat de sa médiation a abouti à la signature de cet important mémorandum, qui débouchera certainement à l’ouverture de la frontière entre la Guinée et le Sénégal, fermée depuis septembre 2020. Nana Akufo Addo a ensuite félicité les deux chefs d’Etat qui ont accepté d’enclencher ce processus de dialogue.

SOURCE: senenews.com/Mouhamed Camara

L’Allemagne reconnaît le génocide des Hereros et des Namas

par Webmaster | 28 05 21 | Actualitès, Focus, Le monde

Mémorial dédié au génocide des Hereros et Namas commis par les troupes allemandes.

Au début du XXe siècle les colons allemands entreprirent d’exterminer systématiquement les peuples herero et nama. L’Allemagne  a reconnu ce vendredi et pour la première fois qu’elle avait commis un génocide en Namibie pendant son occupation coloniale. Berlin va plus loin et promet un soutien financier de plus d’un milliard d’euros pour accompagner des projets dans la nation africaine. « Nous qualifierons maintenant officiellement ces événements pour ce qu’ils sont du point de vue d’aujourd’hui : un génocide », a déclaré le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas, dans un communiqué.

Il salue dans cette déclaration la conclusion d’un « accord » avec la Namibie après plus de cinq ans d’âpres négociations sur les événements survenus dans ce territoire africain colonisé par l’Allemagne entre 1884 et 1915. C’est en juillet 2015 que l’Allemagne utilisait pour la première fois le terme de génocide pour qualifier le massacre des peuples herero et namas.

Tout commence en 1904. Privées de leurs terres et de leur bétail, sous l’ordre de l’administration coloniale, les tribus hereros s’étaient révoltées contre les colons allemands, faisant une centaine de morts parmi ces derniers. Envoyé pour mater la rébellion, le général allemand Lothar von Trotha, bras armé de l’Allemagne de Guillaume ll dans le sud sud-ouest africain, avait ordonné leur extermination. « Tous les Hereros doivent quitter le pays. S’ils ne le font pas, je les y forcerai avec mes grands canons. Tout Herero découvert dans les limites du territoire allemand, armé comme désarmé, avec ou sans bétail, sera abattu. Je n’accepte ni femme ni enfant. Ils doivent partir ou mourir. Telle est ma décision pour le peuple herero. » Les Namas s’étaient soulevés un an plus tard et subirent le même sort. Au total, au moins 60 000 Hereros et environ 10 000 Namas perdirent la vie entre 1904 et 1908. Les forces coloniales allemandes avaient employé des techniques génocidaires : massacres de masse, exil dans le désert où des milliers d’hommes, femmes et enfants sont morts de soif, et camps de concentration comme celui tristement célèbre de Shark Island. Des ossements, en particulier les crânes de victimes, furent envoyés en Allemagne pour des expériences scientifiques à caractère racial. Le médecin Eugen Fischer, qui a officié à Shark Island et dont les écrits ont influencé Adolf Hitler, cherchait à prouver la « supériorité de la race blanche ». « À la lumière de la responsabilité historique et morale de l’Allemagne, nous allons demander pardon à la Namibie et aux descendants des victimes » pour les « atrocités » commises, a précisé le ministre allemand. Les Allemands restés en Namibie après les massacres avaient réussi à convaincre le régime d’apartheid sud-africain d’enterrer le rapport (Blue Note) préparé par le Royaume-Uni sous prétexte que leur ennemi commun était « la race noire ». Ce n’est qu’en 1985, à la suite du rapport Whitaker, que les Nations unies rendent publique cette page d’histoire longtemps cachée. Mais pour beaucoup d’historiens déjà, il ne fait aucun doute qu’il s’agissait là du premier génocide du XXe siècle. « L’acceptation de la part de l’Allemagne qu’un génocide a été commis est un premier pas dans la bonne direction », a affirmé à l’AFP Alfredo Hengari, le porte-parole du président namibien Hage Geingob. « C’est la base de la deuxième étape, qui consiste à présenter des excuses, suivies de réparations ». Le président namibien organisera dans les semaines à venir des discussions avec les représentants des communautés hereros et namas, sur les « modalités de mise en œuvre de ce qui a été convenu avec l’Allemagne », a précisé M. Hengari.

Attaques au Niger.

par Webmaster | 2 05 21 | Actualitès, Le monde

Des hommes armés à moto ont tué au moins 19 personnes lors d’une attaque samedi contre le village de Gaïgorou dans l’ouest du Niger cette attaque a été confirmée  dimanche par les autorités locales. Proche de la frontière malienne cette zone a déjà été frappée à plusieurs reprises par des attaques jihadistes.

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