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France-Niger:le statut de l’ambassadeur français

Selon Emmanuel Macron les auteurs du coup d’Etat au Niger ne sont pas les autorités légitime de ce pays . En conséquence , la France ne reconnaît que l’autorité du président Bazoum.
Rappelons que suite à la venue subite d’un nouveau pouvoir par coup d’Etat ou l’avènement d’un nouvel État il y a une coutume avérée qui présente une double acception et soit du gouvernement ou soit de l’Etat : Ce sont les notions de reconnaissance de gouvernement et de reconnaissance d’Etat .Ces procédures dérivent du fait que les États et gouvernements déclarent reconnaître ces situations de fait et donc octroient une légitimité à l’existence de l’Etat et ou l’acceptation du gouvernement .
Dans le cas du Niger la position de la France est , il faut le dire d’une absurdité qui frôle le désarroi . En effet , la France devait tout simplement user de la coutume internationale qui consiste à refuser de reconnaître le gouvernement militaire .
En le faisant , rappeler son ambassadeur et non le maintenir par la force en utilisant l’argument que les autorités militaires nigériennes ne sont pas légitime( sic!)
Tout le monde s’accorde que ces autorités ne sont pas légitime mais constituent après le parachèvent du coup d’Etat la seule autorité Étatique dépositaire de la souveraineté du pays .
Par conséquent au nom de cette souveraineté pleine , entière et exercée … par usurpation par les militaires ces derniers peuvent exiger le départ du dit ambassadeur .
Sur la question de la prise d’otage , il faut appeler un chat , un chat .
La France s’est auto reclus par procuration au Niger en y maintenant un ambassadeur indésirable et par les militaire et par la population . Que des lors il faut considérer le cas de l’ambassadeur non pas comme une prise d’otage au sens classique du terme avec demande de rançon ou toute une autre contrepartie mais comme une auto claustration ( c’est du français ce mot la ?)
Froidement lorsque l’on considère l’attitude de Macron , celle – ci ressemble à celle d’un enfant à qui on a confisqué la sucette d’une part et aussi l’attitude d’une d’une puissance nostalgique de l’époque coloniale où tous ces ensembles obéissaient au doigt et à l’œil aux différents présidents français dès le début de la 5 e République .
Un temps révolu qui est devenu anachronique mais que la France , son président et la classe politique refusent d’accepter .
La réalité est que comme en Afrique du Nord la France est arrivée au point qu’elle doit quitter l’Afrique occidentale et Équatoriale . Des appellations qui n’existent plus mais qui sont restées dans la conscience de l’Etat Français .
La France est dans le déclin et n’a pas le soutien de l’ensemble des pays occidentaux, lesquels sont dans une gêne terrible .
Salah Eddine Sy dit le Rgueiby

Quatre années de pouvoir : un bref aperçu.

Quatre années après l’avènement du régime actuel, est-ce que tout va vraiment mal ?
À une année de la fin de la présente mandature, des avancées ont-elles été constatées dans les divers domaines qui touchent le quotidien du citoyen ordinaire ?
C’est à ces questions centrales que doivent répondre ceux qui voudraient dresser un bilan de cette période, sans parti-pris et sans préjugés. Pour ma part, en tant que citoyen lambda, je me contenterais de faire en vrac quelques constats en m’efforçant d’être le plus objectif possible:
1. Aujourd’hui, un mécontentement perceptible s’insinue un peu partout chez la population. Ce mécontentement est aggravé par la médiocrité des services de base, et la cherté de la vie, principaux baromètres de l’état d’esprit de l’opinion. Les dernières coupures qui ont touché et touchent encore les réseaux d’eau et d’électricité, accentuent ce sentiment général de ras-le-bol.
2. Sur le front de la justice et le partage équitable des richesses, l’impression que rien n’a structurellement bougé, prédomine chez certains observateurs et de larges franges de la population qui considèrent que les efforts de lutte contre l’exclusion restent en deça des espérances.
3. S’il est vrai que les dernières élections législatives et régionales ont permis de conforter le parti au pouvoir, il n’en demeure pas moins que ces mêmes élections sont contestées par bon nombre d’acteurs politiques dans leur déroulement et leurs résultats.
4. Il est indéniable que l’actuel régime s’est vu confronté dès son avènement, à la catastrophique crise sanitaire Covid 19 dont les répercussions négatives continuent de peser sur les finances et l’économie mondiales en remettant en cause la bonne exécution de bon nombre de projets et programmes.
5. En voyant ce qui se passe dans des pays de la sous-région, l’on ne peut que se féliciter du climat de paix et de stabilité qui règne dans notre pays en espérant que cela continue et se renforce.
6. Sur le front social, plusieurs avancées sont à mettre au crédit du pouvoir. J’en citerais l’assurance maladie qui se généralise, les transferts sociaux et autres aides alimentaires. Mais là encore, compte tenu de la flambée continue des prix, il y a lieu de faire beaucoup plus et vite pour atténuer les souffrances des populations.
7. L’une des tares qui plombe encore tout effort de développement, réside dans les choix contestables de certains responsables incompétents et dénués de toute conscience professionnelle. L’une des conséquences dramatiques de cette situation, c’est l’impunité qui encourage les mauvaises pratiques et les perpétuent. Sur ce plan, hormis de rares responsables, rien n’a véritablement changé.
#En conclusion et pour rester concis, cet espace ne se prêtant pas à de longues analyses, nous sommes à quelques mois d’une échéance électorale cruciale qui devra être l’occasion de redéfinir les priorités, écouter plus attentivement les voix de ceux qui souffrent, travailler plus sérieusement sur le front de la justice sociale et l’égalité des chances. Tenant compte des sept points ci-dessus, le ou les candidats auront du pain sur la planche.
Alou Ishaq

A chacun son style

La différence d’approche entre le président Mohamed Ould Ghazouani et son prédécesseur, Mohamed Ould Abdel Aziz, peut effectivement déstabiliser certains citoyens mauritaniens habitués aux actions instantanées et parfois brutales de l’ancien President.

Mohamed Ould Abdel Aziz était connu pour son style de leadership autoritaire et son approche pragmatique axée sur le développement économique. Il a initié divers projets et réformes, notamment dans le domaine des infrastructures, de l’énergie et de la lutte contre le terrorisme. Son approche se caractérisait par une prise de décision rapide et des résultats visibles à court terme.

En revanche, Mohamed Ould Ghazouani a adopté une approche plus lente et prudente. Il est considéré comme un technocrate et un stratège politique. Sa priorité semble être de consolider la stabilité politique et de promouvoir la transparence. Il a mis l’accent sur la lutte contre la corruption, l’amélioration de la gouvernance et l’instauration de réformes structurelles à long terme.

Ce changement d’approche peut déstabiliser certains citoyens qui attendent des actions immédiates et des résultats concrets. Ils peuvent ressentir que le rythme du changement est plus lent et que les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien ne sont pas résolus de manière aussi rapide.

Cependant, il convient de noter que chaque président a sa propre vision et ses priorités propres. La transition politique est un processus qui nécessite du temps et de la patience. Le président Ghazouani a fait preuve de volonté politique en introduisant des réformes nécessaires pour améliorer la gouvernance et la transparence. Il est important de donner à sa politique le temps de se développer et d’évaluer ses résultats à moyen et long terme.

En fin de compte, il revient aux citoyens mauritaniens de surveiller l’action du gouvernement, d’exprimer leurs préoccupations et d’œuvrer pour le développement du pays. Le changement d’approche politique peut être une occasion de s’engager dans des discussions constructives et de participer activement au processus démocratique mauritanien.

Ahmed Bezeid Deida

Lettre ouverte à son Excellence Monsieur Mohamed Cheikh Ghazwani Président de la république

Lettre ouverte à son Excellence Monsieur Mohamed Cheikh Ghazwani
Président de la républiqu

Monsieur le Président, Cher Ami
J’ai posté il y a quelques jours un document sous forme d’appel dans lequel je faisais un diagnostic objectif, sans complaisance de la situation dramatique, que traverse notre pays en mettant en exergue les enjeux auxquels nous serions confrontés en absence de réaction forte de votre part .
Je m’en vais dans ce texte vous proposer les grandes lignes appropriées pouvant contribuer à une ébauche de début de solution nous évitant ainsi de nous retrouver au fond du précipice.
La première remarque de taille faite à l’issue de ces quatre années d’exercice du pouvoir c’est que vous avez beaucoup changé certes l’entourage rapace, les lobbys, les clans ne vous ont pas laissé le choix ;mais c’est par là qu’ il fallait commencer : en refusant ce tricéphalisme à la tête de l’état .En restant directement proche du peuple ,de ses aspirations de ses conditions de vie et non pas en lui balançant de temps en temps des messages sur twiter ( que les gens ne suivent pas ).
IL ne faut pas se contenter des rapports des services de sécurité, ni de ceux de fonctionnaires véreux, ni de visiteurs nocturnes souvent mal intentionnés, mais plutôt mettre la main à la pâte en vous invitant à diner de façon improvisée chez une famille à Mellah,PK…partageant avec eux le modeste repas (s’il est disponible)autour d’un thé vous prendrez ainsi la mesure des défis auxquels notre pauvre pays est confronté .En vous pointant à 8 heure dans l’une des administration vérifiant la ponctualité et la qualité du travail des fonctionnaires .En faisant un tour (sans le ministre ni les directeurs du ministère de la santé )tard dans la nuit aux urgences de l’un des hôpitaux de la capitale .En organisant de façon discrète des visites à l’intérieur du pays sans tambour ni trompette ;proscrivant ses visites carnavalesques inutiles et couteuse et en interdisant aux Nouakchottois tout déplacement vers la zone visitée .
Parce qu’en fait le diable est dans les détails .Ceux qui vous entourent ne veulent pas que vous preniez connaissance de la réalité vous maintenant dans une bulle afin qu’ils continuent de profiter impunément de se sucrer sur le dos du peuple.
La première décision serait de reprendre directement contact avec la population .
La deuxième action serait d’éviter l’émiettement du pouvoir en centralisant les décisions –pendant cette phase- cela permettrai un meilleur suivi de l’évolution des politiques sectorielles et surtout cela évitera un clivage une scission au sein du groupe préjudiciable à sa cohésion et son efficience.
La troisième initiative est relative au choix des hommes c’est la pierre angulaire de la réussite et de l’atteinte des objectifs .Le programme que vous avez présenté et pour lequel les mauritaniens vous ont élu est éloquent ; mais si vous n’avez pas pu le mettre en œuvre au cours de ces quatre années c’est principalement parce que vous n’avez pas choisi les hommes compétents et intègres qu’il fallait. Vous avez privilégié dans vos choix : le tribalisme, le régionalisme, le clientèlisme,voire la parenté au détriment de l’expérience et la compétence .
Je ne peux pas me résigner à croire que de un million de poète , de savants ,nous en sommes à un million de voleurs de malhonnêtes .Je persiste à croire que des hommes et des femmes compétents et intègres auxquels on n’a pas voulu accorder l’opportunité de servir loyalement leur pays existent. On a préféré rependre ceux qui ont servi Ould Daddah et les régimes qui ont suivi jusqu’à nos jours et qui sont allés d’échec en échec (ils doivent avoir de sacré marabout) trainant avec eux plusieurs casseroles qui vont de détournement sans scrupules de deniers publics, de corruption ,de gabegie. Vouloir réussir une politique de développement avec cette armada constitue une véritable utopie.
Ecarter de votre entourage tous ceux qui ont un moment, ou un autre manifestement échoué dans leurs responsabilités ;tous ceux qui ont trainé ou trainent des casseroles au profit de visage nouveaux intègres et compétents et croyez-moi je persiste à croire qu’ ils existent.
Il s’avère avec le temps que le programme concocté lors de la transition devrait porter un ajustement en plaçant la justice au cœur des priorités ceci étant dicté par les évènement récents en matière de justice voire de justice sociale .
En résumé la clef de voute de la réussite passe par :
 un président plus près du peuple
 une centralisation du pouvoir
 un choix objectif, judicieux et pragmatique des hommes
 une justice indépendante et surtout impartiale
Excellence cher ami : les « bédanes » qui ne sont pas sots disent « écoutes ceux qui te font pleurer n’écoutes pas ceux qui te font rire ».
Il est certain que je prêche dans le désert mais il était de mon devoir pour soulager ma conscience de non seulement faire un état des lieux mais apporter ma contribution aux solutions afin d‘éviter à notre pays la dérive à laquelle il se dirige inexorablement.
Veuillez croire, Excellence Monsieur le président, et cher ami à ma très haute considération.

Professeur Sidi Ely AHMEDOU

Le Premier Ministre engage la responsabilité du Gouvernement devant l’Assemblée nationale sur la politique Générale de son Gouvernement

Lors de sa dernière reunion le Conseil a délibéré sur une communication présentée par le Premier Ministre, relative à l’engagement de la responsabilité du Gouvernement sur la Politique Générale du Gouvernement qui sera présentée devant l’Assemblée nationale, et ce conformément aux articles 42 (nouveau), 74 et 75 de la Constitution.

L’Article 42 (nouveau) stipule que le Premier ministre définit, sous l’autorité du Président de la République, la politique du Gouvernement.

Au plus tard un mois après la nomination du Gouvernement, le Premier ministre présente son programme devant l’Assemblée nationale et engage la responsabilité du Gouvernement sur ce programme dans les conditions prévues aux articles 74 et 75.

Conformement à l’Article 74, la mise en jeu de la responsabilité politique du Gouvernement résulte de la question de confiance ou de la motion de censure. Ainsi selon cet article,le Premier Ministre, après délibération du Conseil des Ministres, engage devant l’Assemblée Nationale la responsabilité du Gouvernement sur son programme et éventuellement sur une déclaration de politique générale.

L’Assemblée Nationale met en cause la responsabilité du Gouvernement par le vote d’une motion de censure.

Une motion de censure déposée par un député doit porter expressément ce titre et la signature de son auteur. Une telle motion n’est recevable que si elle est signée par un tiers au moins des membres de l’Assemblée Nationale.

Le vote ne peut avoir lieu que quarante-huit heures après le dépôt de la question de confiance ou de la motion de censure.Quant à l’article 75 (nouveau) (Modifié par la loi constitutionnelle n° 2017-022 du 15 Août 2017),il dit que le vote de défiance ou d’adoption de motion de censure entraîne la démission immédiate du Gouvernement en posant cependant une condition en effet, Ils ne peuvent être acquis qu’à la majorité des députés composant l’Assemblée  Nationale et seuls sont recensés les votes de défiance ou les votes favorables à la motion de censure.Le Gouvernement démissionnaire continue à expédier les affaires courantes jusqu’à la nomination, par le Président de la République, d’un nouveau Premier Ministre et d’un nouveau Gouvernement.

Si une motion de censure est rejetée, ses signataires ne peuvent en proposer une nouvelle au cours de la même session.

Cette pratique, couramment nommée « question de confiance », est donc prévue par la Constitution.

Elle permet au Premier ministre de soumettre au jugement des députés le programme du gouvernement ou un discours de politique générale.

Si les élus désapprouvent, la Constitution exige du Premier ministre qu’il présente la démission de son gouvernement au Président de la République.

Cela n’arrive jamais, car la question de confiance n’est pas obligatoire. Elle n’a qu’une portée symbolique : le gouvernement et le Premier ministre recourent à cette procédure pour s’assurer du soutien des députés et en tirer une légitimité plus importante.Le Premier ministre et son Gouvernement ne courent aucun risque à faire appel à cette procédure car l’Insav dispose à l’Assemblée nationale de la majorité absolue.

Ahmed Bezeid Deida

 

 

 

 

Mon coup de Gueule par Salah EddineSy.

Le Rgueiby souhaite à tout le monde bonne fête .

C’est une tradition chez nous et chez tous les peuples musulmans ou des religions révélées de se souhaiter bonne fête .

La mémoire historique du prophète Abraham ou ibrahim et de son fils Isaac ( nous autres musulmans croyons fermement qu’il s’agit du sacrifice de Ismael) nous a été transmise jusqu’à nous.

Que cependant, pour vous mes compatriotes prêtez attention à ce qui se passe chez nous depuis une année : 36 a 40 000 jeunes mauritaniens ont quitté notre pays pour chercher des cieux plus cléments .C’est d’autant plus traumatisant que notre pays s’apprête à l’oree ou à la fin de l’ année 2024 à exploiter le gaz et le pétrole offshore comme le Sénégal .

Notre ministre des finances aurait adressé cet exode massif en disant que aucune raison ne devrait jeter ces jeunes sur la route de l‘exil car nous avons le pétrole et le gaz .

Avec tout le respect que je dois à son excellence , qu’il me permette ici de dire et ce n‘est point une insulte . Que Allah m’en garde . Le ministre n’a dit que des inepties sans démontrer ou illustrer ses propos par des chiffres où tout au moins un projet de document du gouvernement nous parlant des futures exploitations et les perspectives de développement économiques et sociales induites par la dite exploitation .

Le Sénégal a fait des études , dès prospections , des plans et des scénaris en montrant au peuple ce qui sera attendu de l’exploitation du gaz et du pétrole .

Notre super ministre des affaires économiques et autres départements aurait dit , avait dit que “ les mauritaniens ne devraient pas compter sur le gaz et le pétrole pour l’amélioration de leur condition de vie . Alors ? Qu’en pensez vous chers compatriotes ?

La vérité sur le silence de nos autorités quant a l’exploitation du gaz et du pétrole et plus précisément l’opacité entretenue autour de cette affaires tient au fait que ceux qui sont la , au gouvernail s’en sont emparés et par prêts et crédits et autres emprunts engrangés les marges bénéficiaires qui devaient revenir aux mauritaniens et à la Mauritanie .

Notre gouvernement a orchestré la fuite de notre jeunesse , celle des hodh, de l’assaba , du gorgol , du Tagant , du brakna , du trarza , de l’Adrar , de toutes les régions et départements .

Du Trarza à l’extrême Est du pays le long de la vallée ,le sous- sol regorge de tous les minéraux inimaginable et peuvent être exploités pendant 200 ans sans en entamer ni la teneur ou le volume .(1)

En vidant nos régions nos gouvernants , égoïstes , limités , religieusement déficients pensent s’enrichir comme crésus .

Le Hic qui exploitera ces ressources si notre jeunesse n’est pas sur place ?

Nos gouvernants ont vendu notre pays et l’avenir de nos enfants et de nos petits enfants .

Ils ont aussi par la même occasion vendu leurs enfants comme esclaves .

Des recherches géologiques au début des années cinquante ont montré que dans le bassin de Teaoudeni gise d’énormes ressources inépuisables .

Ce bassin comprend : le sud de l’Algérie , la Mauritanie , le nord du Sénégal , le Mali , le Niger , le Burkina Faso et le Tchad .

Au Tchad on est déjà en Afrique centrale alors pensez au Zaïre.

Bonne fête à vous tous .

Salah eddine Abdoul Hamady sy

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