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Lettre ouverte à son Excellence Monsieur Mohamed Cheikh Ghazwani Président de la république

Lettre ouverte à son Excellence Monsieur Mohamed Cheikh Ghazwani
Président de la républiqu

Monsieur le Président, Cher Ami
J’ai posté il y a quelques jours un document sous forme d’appel dans lequel je faisais un diagnostic objectif, sans complaisance de la situation dramatique, que traverse notre pays en mettant en exergue les enjeux auxquels nous serions confrontés en absence de réaction forte de votre part .
Je m’en vais dans ce texte vous proposer les grandes lignes appropriées pouvant contribuer à une ébauche de début de solution nous évitant ainsi de nous retrouver au fond du précipice.
La première remarque de taille faite à l’issue de ces quatre années d’exercice du pouvoir c’est que vous avez beaucoup changé certes l’entourage rapace, les lobbys, les clans ne vous ont pas laissé le choix ;mais c’est par là qu’ il fallait commencer : en refusant ce tricéphalisme à la tête de l’état .En restant directement proche du peuple ,de ses aspirations de ses conditions de vie et non pas en lui balançant de temps en temps des messages sur twiter ( que les gens ne suivent pas ).
IL ne faut pas se contenter des rapports des services de sécurité, ni de ceux de fonctionnaires véreux, ni de visiteurs nocturnes souvent mal intentionnés, mais plutôt mettre la main à la pâte en vous invitant à diner de façon improvisée chez une famille à Mellah,PK…partageant avec eux le modeste repas (s’il est disponible)autour d’un thé vous prendrez ainsi la mesure des défis auxquels notre pauvre pays est confronté .En vous pointant à 8 heure dans l’une des administration vérifiant la ponctualité et la qualité du travail des fonctionnaires .En faisant un tour (sans le ministre ni les directeurs du ministère de la santé )tard dans la nuit aux urgences de l’un des hôpitaux de la capitale .En organisant de façon discrète des visites à l’intérieur du pays sans tambour ni trompette ;proscrivant ses visites carnavalesques inutiles et couteuse et en interdisant aux Nouakchottois tout déplacement vers la zone visitée .
Parce qu’en fait le diable est dans les détails .Ceux qui vous entourent ne veulent pas que vous preniez connaissance de la réalité vous maintenant dans une bulle afin qu’ils continuent de profiter impunément de se sucrer sur le dos du peuple.
La première décision serait de reprendre directement contact avec la population .
La deuxième action serait d’éviter l’émiettement du pouvoir en centralisant les décisions –pendant cette phase- cela permettrai un meilleur suivi de l’évolution des politiques sectorielles et surtout cela évitera un clivage une scission au sein du groupe préjudiciable à sa cohésion et son efficience.
La troisième initiative est relative au choix des hommes c’est la pierre angulaire de la réussite et de l’atteinte des objectifs .Le programme que vous avez présenté et pour lequel les mauritaniens vous ont élu est éloquent ; mais si vous n’avez pas pu le mettre en œuvre au cours de ces quatre années c’est principalement parce que vous n’avez pas choisi les hommes compétents et intègres qu’il fallait. Vous avez privilégié dans vos choix : le tribalisme, le régionalisme, le clientèlisme,voire la parenté au détriment de l’expérience et la compétence .
Je ne peux pas me résigner à croire que de un million de poète , de savants ,nous en sommes à un million de voleurs de malhonnêtes .Je persiste à croire que des hommes et des femmes compétents et intègres auxquels on n’a pas voulu accorder l’opportunité de servir loyalement leur pays existent. On a préféré rependre ceux qui ont servi Ould Daddah et les régimes qui ont suivi jusqu’à nos jours et qui sont allés d’échec en échec (ils doivent avoir de sacré marabout) trainant avec eux plusieurs casseroles qui vont de détournement sans scrupules de deniers publics, de corruption ,de gabegie. Vouloir réussir une politique de développement avec cette armada constitue une véritable utopie.
Ecarter de votre entourage tous ceux qui ont un moment, ou un autre manifestement échoué dans leurs responsabilités ;tous ceux qui ont trainé ou trainent des casseroles au profit de visage nouveaux intègres et compétents et croyez-moi je persiste à croire qu’ ils existent.
Il s’avère avec le temps que le programme concocté lors de la transition devrait porter un ajustement en plaçant la justice au cœur des priorités ceci étant dicté par les évènement récents en matière de justice voire de justice sociale .
En résumé la clef de voute de la réussite passe par :
 un président plus près du peuple
 une centralisation du pouvoir
 un choix objectif, judicieux et pragmatique des hommes
 une justice indépendante et surtout impartiale
Excellence cher ami : les « bédanes » qui ne sont pas sots disent « écoutes ceux qui te font pleurer n’écoutes pas ceux qui te font rire ».
Il est certain que je prêche dans le désert mais il était de mon devoir pour soulager ma conscience de non seulement faire un état des lieux mais apporter ma contribution aux solutions afin d‘éviter à notre pays la dérive à laquelle il se dirige inexorablement.
Veuillez croire, Excellence Monsieur le président, et cher ami à ma très haute considération.

Professeur Sidi Ely AHMEDOU

Le Premier Ministre engage la responsabilité du Gouvernement devant l’Assemblée nationale sur la politique Générale de son Gouvernement

Lors de sa dernière reunion le Conseil a délibéré sur une communication présentée par le Premier Ministre, relative à l’engagement de la responsabilité du Gouvernement sur la Politique Générale du Gouvernement qui sera présentée devant l’Assemblée nationale, et ce conformément aux articles 42 (nouveau), 74 et 75 de la Constitution.

L’Article 42 (nouveau) stipule que le Premier ministre définit, sous l’autorité du Président de la République, la politique du Gouvernement.

Au plus tard un mois après la nomination du Gouvernement, le Premier ministre présente son programme devant l’Assemblée nationale et engage la responsabilité du Gouvernement sur ce programme dans les conditions prévues aux articles 74 et 75.

Conformement à l’Article 74, la mise en jeu de la responsabilité politique du Gouvernement résulte de la question de confiance ou de la motion de censure. Ainsi selon cet article,le Premier Ministre, après délibération du Conseil des Ministres, engage devant l’Assemblée Nationale la responsabilité du Gouvernement sur son programme et éventuellement sur une déclaration de politique générale.

L’Assemblée Nationale met en cause la responsabilité du Gouvernement par le vote d’une motion de censure.

Une motion de censure déposée par un député doit porter expressément ce titre et la signature de son auteur. Une telle motion n’est recevable que si elle est signée par un tiers au moins des membres de l’Assemblée Nationale.

Le vote ne peut avoir lieu que quarante-huit heures après le dépôt de la question de confiance ou de la motion de censure.Quant à l’article 75 (nouveau) (Modifié par la loi constitutionnelle n° 2017-022 du 15 Août 2017),il dit que le vote de défiance ou d’adoption de motion de censure entraîne la démission immédiate du Gouvernement en posant cependant une condition en effet, Ils ne peuvent être acquis qu’à la majorité des députés composant l’Assemblée  Nationale et seuls sont recensés les votes de défiance ou les votes favorables à la motion de censure.Le Gouvernement démissionnaire continue à expédier les affaires courantes jusqu’à la nomination, par le Président de la République, d’un nouveau Premier Ministre et d’un nouveau Gouvernement.

Si une motion de censure est rejetée, ses signataires ne peuvent en proposer une nouvelle au cours de la même session.

Cette pratique, couramment nommée « question de confiance », est donc prévue par la Constitution.

Elle permet au Premier ministre de soumettre au jugement des députés le programme du gouvernement ou un discours de politique générale.

Si les élus désapprouvent, la Constitution exige du Premier ministre qu’il présente la démission de son gouvernement au Président de la République.

Cela n’arrive jamais, car la question de confiance n’est pas obligatoire. Elle n’a qu’une portée symbolique : le gouvernement et le Premier ministre recourent à cette procédure pour s’assurer du soutien des députés et en tirer une légitimité plus importante.Le Premier ministre et son Gouvernement ne courent aucun risque à faire appel à cette procédure car l’Insav dispose à l’Assemblée nationale de la majorité absolue.

Ahmed Bezeid Deida

 

 

 

 

Mon coup de Gueule par Salah EddineSy.

Le Rgueiby souhaite à tout le monde bonne fête .

C’est une tradition chez nous et chez tous les peuples musulmans ou des religions révélées de se souhaiter bonne fête .

La mémoire historique du prophète Abraham ou ibrahim et de son fils Isaac ( nous autres musulmans croyons fermement qu’il s’agit du sacrifice de Ismael) nous a été transmise jusqu’à nous.

Que cependant, pour vous mes compatriotes prêtez attention à ce qui se passe chez nous depuis une année : 36 a 40 000 jeunes mauritaniens ont quitté notre pays pour chercher des cieux plus cléments .C’est d’autant plus traumatisant que notre pays s’apprête à l’oree ou à la fin de l’ année 2024 à exploiter le gaz et le pétrole offshore comme le Sénégal .

Notre ministre des finances aurait adressé cet exode massif en disant que aucune raison ne devrait jeter ces jeunes sur la route de l‘exil car nous avons le pétrole et le gaz .

Avec tout le respect que je dois à son excellence , qu’il me permette ici de dire et ce n‘est point une insulte . Que Allah m’en garde . Le ministre n’a dit que des inepties sans démontrer ou illustrer ses propos par des chiffres où tout au moins un projet de document du gouvernement nous parlant des futures exploitations et les perspectives de développement économiques et sociales induites par la dite exploitation .

Le Sénégal a fait des études , dès prospections , des plans et des scénaris en montrant au peuple ce qui sera attendu de l’exploitation du gaz et du pétrole .

Notre super ministre des affaires économiques et autres départements aurait dit , avait dit que “ les mauritaniens ne devraient pas compter sur le gaz et le pétrole pour l’amélioration de leur condition de vie . Alors ? Qu’en pensez vous chers compatriotes ?

La vérité sur le silence de nos autorités quant a l’exploitation du gaz et du pétrole et plus précisément l’opacité entretenue autour de cette affaires tient au fait que ceux qui sont la , au gouvernail s’en sont emparés et par prêts et crédits et autres emprunts engrangés les marges bénéficiaires qui devaient revenir aux mauritaniens et à la Mauritanie .

Notre gouvernement a orchestré la fuite de notre jeunesse , celle des hodh, de l’assaba , du gorgol , du Tagant , du brakna , du trarza , de l’Adrar , de toutes les régions et départements .

Du Trarza à l’extrême Est du pays le long de la vallée ,le sous- sol regorge de tous les minéraux inimaginable et peuvent être exploités pendant 200 ans sans en entamer ni la teneur ou le volume .(1)

En vidant nos régions nos gouvernants , égoïstes , limités , religieusement déficients pensent s’enrichir comme crésus .

Le Hic qui exploitera ces ressources si notre jeunesse n’est pas sur place ?

Nos gouvernants ont vendu notre pays et l’avenir de nos enfants et de nos petits enfants .

Ils ont aussi par la même occasion vendu leurs enfants comme esclaves .

Des recherches géologiques au début des années cinquante ont montré que dans le bassin de Teaoudeni gise d’énormes ressources inépuisables .

Ce bassin comprend : le sud de l’Algérie , la Mauritanie , le nord du Sénégal , le Mali , le Niger , le Burkina Faso et le Tchad .

Au Tchad on est déjà en Afrique centrale alors pensez au Zaïre.

Bonne fête à vous tous .

Salah eddine Abdoul Hamady sy

Professeur Lo Gourmo:Jamais la Mauritanie n’a connu une telle dérive en matière électorale.

 

Un chaos sans précédent a présidé à ces élections dont les résultats sont absolument sans aucune signification. Du jamais vu, à une telle échelle. Au cœur de cette pagaille: la CENI. Jamais la Mauritanie n’a connu une telle dérive en matière électorale. Même le parti gouvernemental, INSAF, en a subi les affres, en raison de ses déchirements claniques comme par exemple à Nouadhibou. Sans rien dire de certains de ses démembrements. Depuis le début de cette mascarade, la CENI a fait montre des pires excès de notre administration publique : clientèlisme invétéré, absence totale de toute considération des lois et règlements en vigueur, mépris de la parole donnée, irresponsabilité permanente, divisions internes sur des bases non professionnelles, utilisation abusive des ressources, affectation sur des bases ethniques, tribales ou régionales…tout celà à ciel ouvert, sans scrupules et sans limites. La conséquence générale qui en résulte est le discredit total qui frappe le processus électoral dans son ensemble. La fraude est massive, les détournements de vote, le bourrage d’urnes qui ne sont même pas scellées pour la plupart, l’élimination du travail collectif des membres des bureaux de vote pour faire place à de véritables potentats en leur sein, qui décident de tout, chassent les gens comme ils veulent et, cerise sur le gâteau, le refus insensé et généralisé de délivrer les procès verbaux des bureaux de vote. etc…
Comment prendre au sérieux les résultats finaux de telles aberrations? Et comment ne pas voir que l’ennemi des élections libres, démocratiques, transparentes et acceptables, comme convenu entre tous les partis c’est la ÇENI elle même ?
LÔ GOURMO, 16 MAI 2023

La loi du prix fort

En cette ‘dizaine des ânes’, ainsi appelée parce que les jeûneurs trouvent le temps trop lent, signe d’épuisement, je me suis rappelé les mois d’affilée durant lesquels un grand-père à nous acquittait des dettes de jeûne, en compensation de Ramadans qu’il n’avait pu observer pour des raisons de santé. Son alimentation se limitait à ceci : pour le Ftour, sept dattes, puis un bol de zrig (lait caillé brassé à l’eau) ; après la prière du maghrib, une assiettée de viande séchée et pilée, suivie d’un thé, en plus d’un S’hour symbolique.

A l’époque déjà, nous trouvions ce régime frugal à l’excès, et il le paraît encore davantage aujourd’hui, vu l’évolution du mode de vie et des normes diététiques. Pourtant, beaucoup de familles suivent, de nos jours, une alimentation tout aussi sommaire. La différence est que le grand-père agissait de son gré pour se conformer aux vertus d’abstinence portées par le jeûne, tandis que les familles y sont contraintes par privation, face à des prix voltigeant dans une valse endiablée.

Le gouvernement a distribué des kits alimentaires, à côté d’autres aides sociales en faveur de populations défavorisées. Cependant, comme toute action d’assistanat et quels que soient les budgets mobilisés, ces programmes peuvent soulager des démunis pour un temps, sans avoir un réel impact sur la situation globale. Aussi la vie chère s’installe-t-elle dans le quotidien.

Nous sommes en train de remonter l’histoire pour revivre la grande sobriété, telle que nos aïeux l’avaient connue au plus fort des disettes. Les ménages se mettent à une ration de survie. Les mères de familles dépoussièrent la littérature d’antan, histoire d’assaisonner le moral, faute de pouvoir garnir le menu. Elles reprennent à leur compte des axiomes du genre : « le repas d’un suffit pour deux », « le mets du croyant, c’est l’existant », « le garçon grandit plus vite quand on le prive de dîner »…

De tradition, les Mauritaniens ne sont pas tendres avec leurs commerçants, auxquels ils prêtent une prédisposition à la manœuvre et une propension à faire argent de tout, un état d’esprit qui leur vaut l’adage bien connu : « tout commerçant est… », réputé même être un hadith. Mais ce n’était pas vraiment méchant, du moment que les besoins étaient modestes et la marge de bénéfice restait raisonnable. Juste une ambiance de boutique du coin.

Au fil du temps, la familiarité cède le pas aux notions dépersonnalisées de consommateurs, d’hommes d’affaires et de marchés. A mesure que les besoins explosent, le goût du profit s’impose. Seuls les revenus restent à la traîne. De sorte que les rapports sont entrés dans une logique de confrontation où l’Etat est censé arbitrer, sur la base d’une politique des prix qui régule le marché et défend le pouvoir d’achat du citoyen. Seulement, l’arbitrage étant aussi une question de style, pas uniquement de sifflet, on préfère calmer les joueurs et laisser jouer.

Alors, les prix grimpent allègrement et ne redescendent jamais, pas même quand les cours des produits sont en chute libre à l’échelle mondiale, ni quand l’Etat accorde des subventions, sous forme d’allègements fiscaux ou d’exonérations en douane, en vue de compenser les surcoûts à l’importation. Pour le consommateur, les tours au marché se font chaque fois plus brefs, les achats plus maigrichons et le moral plus bas.

En cause, la course à l’enrichissement rapide. En effet, la montée en puissance du pouvoir de l’argent, les opportunités qu’il offre, tel un magique « Sésame ouvre-toi », et la couverture tous risques qu’il génère créent une incompressible envie d’amasser le maximum de ressources en un temps record. Un proverbe dit que « la richesse d’ici-bas est comme le feu : plus il reçoit du bois, plus il s’enflamme ». Du coup, les marges bénéficiaires se sont débridées.

A présent, les commerçants peuvent se targuer d’être la seule force vive de la Nation, après avoir écrasé toutes les autres sous le poids d’un coût de vie impitoyable, et fait de l’argent la clef de la réussite. Des jeunes qui prennent le large dans une ruée périlleuse à la recherche d’un improbable Eldorado, des intellectuels qui battent de l’aile, trop fauchés pour briguer des responsabilités électives : l’arène se dégage pour des combats de porte-monnaie.

La percée du monde des affaires dans les arcanes de la politique confirme cette donne et renforce le positionnement que celui-ci ambitionne comme partenaire privilégié de l’Etat, non sans une pensée pour le retour sur investissement. Ce partenariat est déjà formalisé sous l’appellation PPP (partenariat public-privé). On a vu comment il a ouvert au privé l’accès aux plus hautes activités officielles. On attend toujours de voir quelles seraient ses retombées sur la situation des marchés.

Pour l’instant en tout cas, la question des prix semble être logée sous l’enseigne d’une autre triple consonne, CCC (C’est Comme Ça), personne n’y peut rien. C’est la loi du prix fort.

Mohamed Salem Elouma Memah
Entre-citoyens

Vacarme électoral! 

c’est une tragédie de présenter au parlement, en tant que projet politique pour n’importe quel parti, des candidats porteurs d’aucun projet, choisis sur le critère du sang et d’ethnie, pour promulguer des lois, ratifier des accords, contrôler le travail du gouvernement, approuver des budgets, développer la démocratie et activer des commissions parlementaires de responsabilité et d’enquêtes!

Une banalisation en quelques sortes du législatif, où allons-nous?

Une offense et une désobéissance à la société et au projet, ils se moquent d’eux-mêmes et du citoyen qui vote pour eux qui sont censés défendre son intérêt.

Oublie-t-on que le parlement est la base, le fondement ,la garantie des lois et la constitution? sommes-nous devenus une société sans foi ni loi ?

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