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Professeur Lo Gourmo:Jamais la Mauritanie n’a connu une telle dérive en matière électorale.

 

Un chaos sans précédent a présidé à ces élections dont les résultats sont absolument sans aucune signification. Du jamais vu, à une telle échelle. Au cœur de cette pagaille: la CENI. Jamais la Mauritanie n’a connu une telle dérive en matière électorale. Même le parti gouvernemental, INSAF, en a subi les affres, en raison de ses déchirements claniques comme par exemple à Nouadhibou. Sans rien dire de certains de ses démembrements. Depuis le début de cette mascarade, la CENI a fait montre des pires excès de notre administration publique : clientèlisme invétéré, absence totale de toute considération des lois et règlements en vigueur, mépris de la parole donnée, irresponsabilité permanente, divisions internes sur des bases non professionnelles, utilisation abusive des ressources, affectation sur des bases ethniques, tribales ou régionales…tout celà à ciel ouvert, sans scrupules et sans limites. La conséquence générale qui en résulte est le discredit total qui frappe le processus électoral dans son ensemble. La fraude est massive, les détournements de vote, le bourrage d’urnes qui ne sont même pas scellées pour la plupart, l’élimination du travail collectif des membres des bureaux de vote pour faire place à de véritables potentats en leur sein, qui décident de tout, chassent les gens comme ils veulent et, cerise sur le gâteau, le refus insensé et généralisé de délivrer les procès verbaux des bureaux de vote. etc…
Comment prendre au sérieux les résultats finaux de telles aberrations? Et comment ne pas voir que l’ennemi des élections libres, démocratiques, transparentes et acceptables, comme convenu entre tous les partis c’est la ÇENI elle même ?
LÔ GOURMO, 16 MAI 2023

La loi du prix fort

En cette ‘dizaine des ânes’, ainsi appelée parce que les jeûneurs trouvent le temps trop lent, signe d’épuisement, je me suis rappelé les mois d’affilée durant lesquels un grand-père à nous acquittait des dettes de jeûne, en compensation de Ramadans qu’il n’avait pu observer pour des raisons de santé. Son alimentation se limitait à ceci : pour le Ftour, sept dattes, puis un bol de zrig (lait caillé brassé à l’eau) ; après la prière du maghrib, une assiettée de viande séchée et pilée, suivie d’un thé, en plus d’un S’hour symbolique.

A l’époque déjà, nous trouvions ce régime frugal à l’excès, et il le paraît encore davantage aujourd’hui, vu l’évolution du mode de vie et des normes diététiques. Pourtant, beaucoup de familles suivent, de nos jours, une alimentation tout aussi sommaire. La différence est que le grand-père agissait de son gré pour se conformer aux vertus d’abstinence portées par le jeûne, tandis que les familles y sont contraintes par privation, face à des prix voltigeant dans une valse endiablée.

Le gouvernement a distribué des kits alimentaires, à côté d’autres aides sociales en faveur de populations défavorisées. Cependant, comme toute action d’assistanat et quels que soient les budgets mobilisés, ces programmes peuvent soulager des démunis pour un temps, sans avoir un réel impact sur la situation globale. Aussi la vie chère s’installe-t-elle dans le quotidien.

Nous sommes en train de remonter l’histoire pour revivre la grande sobriété, telle que nos aïeux l’avaient connue au plus fort des disettes. Les ménages se mettent à une ration de survie. Les mères de familles dépoussièrent la littérature d’antan, histoire d’assaisonner le moral, faute de pouvoir garnir le menu. Elles reprennent à leur compte des axiomes du genre : « le repas d’un suffit pour deux », « le mets du croyant, c’est l’existant », « le garçon grandit plus vite quand on le prive de dîner »…

De tradition, les Mauritaniens ne sont pas tendres avec leurs commerçants, auxquels ils prêtent une prédisposition à la manœuvre et une propension à faire argent de tout, un état d’esprit qui leur vaut l’adage bien connu : « tout commerçant est… », réputé même être un hadith. Mais ce n’était pas vraiment méchant, du moment que les besoins étaient modestes et la marge de bénéfice restait raisonnable. Juste une ambiance de boutique du coin.

Au fil du temps, la familiarité cède le pas aux notions dépersonnalisées de consommateurs, d’hommes d’affaires et de marchés. A mesure que les besoins explosent, le goût du profit s’impose. Seuls les revenus restent à la traîne. De sorte que les rapports sont entrés dans une logique de confrontation où l’Etat est censé arbitrer, sur la base d’une politique des prix qui régule le marché et défend le pouvoir d’achat du citoyen. Seulement, l’arbitrage étant aussi une question de style, pas uniquement de sifflet, on préfère calmer les joueurs et laisser jouer.

Alors, les prix grimpent allègrement et ne redescendent jamais, pas même quand les cours des produits sont en chute libre à l’échelle mondiale, ni quand l’Etat accorde des subventions, sous forme d’allègements fiscaux ou d’exonérations en douane, en vue de compenser les surcoûts à l’importation. Pour le consommateur, les tours au marché se font chaque fois plus brefs, les achats plus maigrichons et le moral plus bas.

En cause, la course à l’enrichissement rapide. En effet, la montée en puissance du pouvoir de l’argent, les opportunités qu’il offre, tel un magique « Sésame ouvre-toi », et la couverture tous risques qu’il génère créent une incompressible envie d’amasser le maximum de ressources en un temps record. Un proverbe dit que « la richesse d’ici-bas est comme le feu : plus il reçoit du bois, plus il s’enflamme ». Du coup, les marges bénéficiaires se sont débridées.

A présent, les commerçants peuvent se targuer d’être la seule force vive de la Nation, après avoir écrasé toutes les autres sous le poids d’un coût de vie impitoyable, et fait de l’argent la clef de la réussite. Des jeunes qui prennent le large dans une ruée périlleuse à la recherche d’un improbable Eldorado, des intellectuels qui battent de l’aile, trop fauchés pour briguer des responsabilités électives : l’arène se dégage pour des combats de porte-monnaie.

La percée du monde des affaires dans les arcanes de la politique confirme cette donne et renforce le positionnement que celui-ci ambitionne comme partenaire privilégié de l’Etat, non sans une pensée pour le retour sur investissement. Ce partenariat est déjà formalisé sous l’appellation PPP (partenariat public-privé). On a vu comment il a ouvert au privé l’accès aux plus hautes activités officielles. On attend toujours de voir quelles seraient ses retombées sur la situation des marchés.

Pour l’instant en tout cas, la question des prix semble être logée sous l’enseigne d’une autre triple consonne, CCC (C’est Comme Ça), personne n’y peut rien. C’est la loi du prix fort.

Mohamed Salem Elouma Memah
Entre-citoyens

Vacarme électoral! 

c’est une tragédie de présenter au parlement, en tant que projet politique pour n’importe quel parti, des candidats porteurs d’aucun projet, choisis sur le critère du sang et d’ethnie, pour promulguer des lois, ratifier des accords, contrôler le travail du gouvernement, approuver des budgets, développer la démocratie et activer des commissions parlementaires de responsabilité et d’enquêtes!

Une banalisation en quelques sortes du législatif, où allons-nous?

Une offense et une désobéissance à la société et au projet, ils se moquent d’eux-mêmes et du citoyen qui vote pour eux qui sont censés défendre son intérêt.

Oublie-t-on que le parlement est la base, le fondement ,la garantie des lois et la constitution? sommes-nous devenus une société sans foi ni loi ?

Foot ball en Mauritanie : des hauts et des (bas)

Refaire l’histoire du foot ball national constitue un véritable défi. L’évolution de ce sport chez nous se présente en véritables dents de scie. Comme quasiment, tous les autres sports, le foot ball en Mauritanie a eu ses hauts et ses bas. En cela, certains font erreur en pensant que la petite éclaircie enregistrée depuis quelques années est un fait inédit. Pour ceux qui savent encore se rappeler de quelque chose, certaines équipes nationales de foot ball du milieu des années 70 ont inscrit quelques pages de gloire et immortalisé des noms de grands footballeurs dont la renommée a dépassé les frontières nationales. En 1983, la prestation de l’équipe nationale au tournoi Amilcar Cabral organisé en Mauritanie est encore dans tous les esprits. Ces équipes-là rivalisaient avec les plus prestigieuses du continent malgré les moyens très limités que les ministères de l’époque leur allouaient. Evidemment qu’il y a eu aussi des moments beaucoup moins réjouissants pendant lesquels certaines de nos équipes nationales essuyaient des défaites cinglantes qui frisaient l’humiliation. Il va sans dire que le développement du foot ball est un processus dans lequel plusieurs facteurs sont à prendre en considération dont la qualité du championnat national, la promotion des académies de formation, la découverte des jeunes talents et autres institutionnalisation et professionnalisation des clubs ne sont certainement pas des moindres. Il est tout aussi évident que l’argent, le nerf de la guerre joue un rôle prépondérant dans cette tentative puisque sans infrastructures dignes de ce nom et sans motivations substantielles au profit des joueurs et des encadreurs, tous les efforts entrepris risquent de ne pas faire mouche. Aussi, seuls le travail sérieux et la bonne gouvernance payent. Les exemples en cela ne manquent pas. A côté de nous, le Sénégal est certainement le modèle le plus beau et le plus éloquent avec en prime trois trophées de coupe d’Afrique gagnés en à peine une année et une participation honorable à la dernière coupe du monde. Tout cela sans tambours ni trompettes malgré les très bons résultats et des lendemains tout encore prometteurs.
Le jeu en vaut –il la chandelle ?
Il est incontestable que la Mauritanie a fait quelques progrès. La participation à quelques phases finales de la coupe d’Afrique des nations (CAN et CHAN) et l’enregistrement de quelques résultats satisfaisants en constituent une preuve éclatante. Grâce aux efforts des uns et des autres, la Mauritanie revient dans le concert des trente nations africaines les plus footballistiques. Le mérite de ce blason redoré revient à des hommes, des femmes et des jeunes qui se sont investis pour booster le sport roi dont raffolent des millions de Mauritaniens. La tentative de vouloir exclusivement auréoler une personnalité de ce travail est tout simplement peu objective. L’œuvre de reconstruction de notre foot ball est commune. Chacun y a joué sa partition : du plus simple employé au plus haut perché des fonctionnaires de la fédération nationale de foot ball et du planton du ministère de la jeunesse et des sports au ministre ayant en charge la promotion et le développement des activités sportives. Sur plus d’une dizaine d’exercice, la fédération nationale de foot ball a engrangé des fonds considérables qui étaient normalement destinés à promouvoir le foot ball. Des choses ont été faites. Des choses restent à faire. Les avis sont mitigés sur le rapport entre les fonds claqués et les réalisations et succès enregistrés. Le jeu a-t-il valu la chandelle ? Sur cela, chacun y va de son interprétation. En tout cas, la bonne gouvernance du sport constitue aujourd’hui l’une des meilleures garanties de son développement. Les résultats qui y sont obtenus sont généralement proportionnels à la bonne ou à la mauvaise gestion des ressources qui lui sont allouées. Avec des moyens beaucoup moins substantiels, certains pays de la sous-région ont de loin surclassé la Mauritanie en termes d’acquisition de stades aux normes, de participation régulière aux rendez-vous africains et internationaux et en termes d’organisation de manifestations sportives importantes.
Une mauvaise approche
Quasiment tous les pays du monde ont fait recours à un moment ou à un autre au recrutement de joueurs binationaux dont l’ambition légitime était de jouer pour des pays plus développés en foot ball que leur pays d’origine. En cela, la Mauritanie ne fait pas exception à travers l’enrôlement en équipe nationale de certains joueurs comme Ladji Malle (équipe nationale olympique et joueur du club américain de Los Angelés) dont les dernières déclarations sur l’équipe nationale dans une interview qu’il aurait accordée sont tout simplement déplorables et malheureuses. L’histoire de ces warners ou mercenaires du foot pose un problème de fond. Y faire recours doit se faire avec beaucoup de vigilance et de méticulosité. Leur utilisation doit se faire avec modération et intelligence pour éviter de barrer la route à des dizaines de Mauritaniens dont la seule ambition est de jouer pour leur équipe nationale et d’atteindre à travers elle le haut niveau au sein de clubs internationaux de renom dont certains comme en France ou en Angleterre exigent des postulants d’avoir été sélectionnés au moins dix à quinze fois dans l’équipe nationale de leur pays. Au rythme ou le recours à ces warners se fait aujourd’hui chez nous, des rêves sont brisés et des ambitions complètement découragées de quelques talents nationaux dont les places sont injustement et irrégulièrement ravies conjoncturellement à l’occasion de quelques expéditions dont les résultats sont généralement peu satisfaisants. D’ailleurs au regard des derniers matchs de notre équipe nationale, les meilleures prestations ont été enregistrées grâce aux bonnes performances de joueurs mauritaniens bon chic bon genre formés dans des académies ou clubs nationaux comme ….auteur des deux buts marqués contre le RDC en aller et au retour. Le principe de l’engagement des binationaux n’est pas mauvais en soi tant qu’il ne nuit pas à l’ambition et au rêve des jeunes nationaux qui veulent shooter le foot ball mauritanien au sommet de la gloire grâce à un talent, une volonté et un nationalisme qui résistent à toutes les épreuves.

Moussa KHAIRI

Festival de Jowol,un festival pas comme les autres

Le 17 mars prochain les guirlandes vont s’allumer sur le Festival de Jowol .
Jowol vient d’entrer dans le festival des villes anciennes de Mauritanie .
Cette ville , celle de samba Diegui fut le symbole de la résistance apre, acharnée contre l’envahisseur colon et sa plage Bilbassi , au sable écarlate un théâtre de batailles épiques .
Jowol est aussi , la ville de feu le professeur El hadj Mahmoud Ba fondateur de l’école arabe inter etatique de langue arabe ( Mauritanie , senegal , Mali , Gambie …)
Une école dont l’objectif était de faire comprendre aux adeptes de la religion. Musulmane le message divin et aussi de repousser l’ignorance .
C’est aussi la ville de feu mon oncle Hamidou Ngaide , diplomate de carrière et connu en Afrique et en Tunisie comme étant “l’unité africaine en miniature “ et surtout le symbole de la multiculturalite de la Mauritanie ( Respects au professeur Ely Moustapha).
C’est la ville aussi de monsieur Abdoulaye Waiga ancien directeur de la caisse nationale de sécurité sociale et mémoire vivante de la cohésion , de l’unité et de l’histoire du peuple Mauritanien .
C’est en fin nonobstant l’énumération qui serait fastidieuse la ville de El hadj Baba Toure , El hadj , Abdoul N’GAÏDE Et de … mon cousin Connu sous le nom de Kaaw toure .
C’est une ville martyr qui a souffert au siècle dernier de l’incompréhensible catastrophe des exécutions extrajudiciaires perpétrées par le régime de Maouiya .
Jowol est aussi la ville originaire de Hamady Al maghami père de feu Sy abdoul Hamady ancien juge à la cour suprême et père du Rgueiby .
Jowol invite donc tous les mauritaniens et étrangers vivants en Mauritanie .
L’initiative du présent régime de délocaliser le festival des villes anciennes a Jowol marque une nouveauté dans la rupture des assignations communautaristes comme aime le rappeler le sorcier Allemand Mohamed Yahya Fall.
Inscrits dans le lignage de la pensée de nos ancêtres des mourabitounes à nos jours nous nous attachons à ré explorer , revivifier la tolérance , la cohésion et l’unité de notre peuple dans le cadre d’un État indépendant respectueux des valeurs de la civilisation .
Bon festival à tous .
Salah Eddine sy dit le Rgueiby

Communiqué

Plusieurs personnes, certainement par esprit de solidarité et de justice, m’ont interrogé à propos des jugements et du cas SUKUK que j’ai cités dans ma vidéo publiée dans les médias.

Le présent communiqué est fait pour éclairer l’opinion publique et présenter mes remerciements à tous ceux, très nombreux, qui m’ont manifesté leur solidarité et à ceux, solidaires, qui n’ont pas exprimé leur indignation, sûrement, faute de pouvoir me joindre.

Jugements pris contre moi et exécutés :

1) Jugement, pleinement justifié, de saisie de terrains SUKUK au profit de la BMCI. Exécution pour une valeur de plus de 1 milliard 300 millions de MRO. Je n’ai entrepris aucun recours, jugeant que la BMCI était dans son droit. Même après cette exécution, les organes dirigeants cette banque m’a donné 9 mois, pour trouver une solution auprès des pouvoirs publics afin qu’ils me restituent les biens saisis.

Jugement pris au bout de 5 mois et exécuté en moins de 3 mois.

Je dois ici remercier la BMCI pour le professionnalisme avec lequel elle m’a toujours accompagné, la patience et le soutien permanent dont j’ai toujours bénéficié auprès de cette institution de haute qualité.

2) Jugement, pleinement justifié, de saisie de mon domicile au profit de la BMS pour une valeur de 50 millions MRO. Je n’ai fait aucun recours, jugeant que la BMS était dans son plein droit.

Jugement pris au bout de 6 mois et exécuté en moins de 2 mois.

Force pour moi encore de remercier la BMS de toute sa patience qui a duré plus de 3 ans me laissant jouir d’un bien qui, juridiquement, est devenu sa propriété prouvant par là que la BMS n’ont aucune volonté de me spolier. Je suis d’autant plus sensible à cette faveur que je connais les difficultés que la banque a connues et que j’espère passagères.

Jugement pris à mon profit et non exécuté :

Le litige nous opposant à la Communauté Urbaine de Nouakchott (démembrement de l’État) a pris 8 ans de parcours de la justice. Tous les recours possibles ont été épuisés en 2020 et, depuis près de 3 ans, il n’est toujours pas exécuté.

Jugement pris au bout de 8 ans et toujours non exécuté au bout de 2 ans 10 mois et ce malgré l’injonction du Haut Conseil de la Fatwa et des Recours Gracieux.

Non seulement l’institution de droit (Justice) n’est pas respectée, mais aussi l’institution religieuse est bafouée au point de ne même pas mériter une réponse.

Cas SUKUK

FCI a acheté des titres fonciers en 2007 qui ont été mutés par les services des domaines en son nom. Une viabilisation a été réalisée, dans les règles de l’art (terrassements, routes bitumées, raccordement à l’eau, électricité, éclairage public…), donnant ainsi le nom du projet au quartier « SUKUK ».

Le morcellement de la majeure partie des titres, leur vente a été communiquée aux prix réels et leurs mutations aux noms des acquéreurs ont été établies par les services des domaines sans contestation aucune.

D’autres ont été adjugés à la BMCI (voir plus haut).

15 terrains, dans le cadre d’une convention de crédit avec Shelter Afrique, ont obtenu le permis de construire N°804.

Sukuk a été bloqué en 2008 et nos chantiers arrêtés depuis lors. Puis le caractère de promoteurs immobilier et d’investisseur et non de spéculateur a été clairement établi dans une convention avec un Comité Interministériel (02 septembre 2012) qui sur cette base décide de la levée immédiate du blocage.

Depuis le 06/09/2021 au 01/08/2022, je me heurte à un mur de silence de la part des administrations concernées. A mes nombreuses lettres et relances, aucune réponse.

La Primature après 3 lettres et 4 relances a enfin daigné nous répondre en disant avoir transmis nos divers courriers au Ministre des Finances.

Depuis lors silence complet de l’Administration, ce que je comprends aisément : si les instructions du Président et du Gouvernement de rapprocher l’Administration des citoyens ne sont toujours pas parvenues à cette dernière, il est compréhensible que mes demandes soient traitées en dehors des instructions Présidentielles.

Nouakchott, le lundi 12 décembre

Issa Cheiguer

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